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Une nouvelle série d'arrêts, dans le cadre du dossier Cameroun, en lien avec l'élan politique de Maurice Kamto.
Le professeur Jean Calvin Aba'a Oyono, un ancien soutenant de Tchiroma Bakary a été interpellé samedi matin à Yaoundé, selon des sources, alors qu'il se trouvait chez lui. Il a cependant été surpris par des gendarmes et conduit sans résistance vers une destination inconnue. Une affaire qui rejoint celles de son ancien collègue Anicet Ekane et Djeukam Tchameni, tous deux arrêtés vendredi soir à Douala.
Dans un point de presse du matin, le ministre Paul Atanga Nji a confirmé ces interpellations et a annoncé que d'autres pourraient suivre. Il a justifié ces arrêts en indiquant qu'ils procèdent de la mise à nu d'un plan insurrectionnel "savamment pensé" par Tchiroma Bakary. Des enquêtes sont en cours et il est prévu qu'il y ait d'autres interpellations.
Tchiroma Bakary a quant à lui publié un nouveau communiqué, dans lequel il invite ses partisans à ne pas avoir peur. Il dénonce les méthodes utilisées pour arrêter son entourage, des "mêmes méthodes" qu'il a déjà connues. Et il propose aux supporters d'aller manifester ce dimanche.
Le président du parti Front de l'opposition patriotique du Cameroun (FSNC), qui est en tête de la liste pour les prochaines élections, continue à faire des choix sur son campagne.
Le professeur Jean Calvin Aba'a Oyono, un ancien soutenant de Tchiroma Bakary a été interpellé samedi matin à Yaoundé, selon des sources, alors qu'il se trouvait chez lui. Il a cependant été surpris par des gendarmes et conduit sans résistance vers une destination inconnue. Une affaire qui rejoint celles de son ancien collègue Anicet Ekane et Djeukam Tchameni, tous deux arrêtés vendredi soir à Douala.
Dans un point de presse du matin, le ministre Paul Atanga Nji a confirmé ces interpellations et a annoncé que d'autres pourraient suivre. Il a justifié ces arrêts en indiquant qu'ils procèdent de la mise à nu d'un plan insurrectionnel "savamment pensé" par Tchiroma Bakary. Des enquêtes sont en cours et il est prévu qu'il y ait d'autres interpellations.
Tchiroma Bakary a quant à lui publié un nouveau communiqué, dans lequel il invite ses partisans à ne pas avoir peur. Il dénonce les méthodes utilisées pour arrêter son entourage, des "mêmes méthodes" qu'il a déjà connues. Et il propose aux supporters d'aller manifester ce dimanche.
Le président du parti Front de l'opposition patriotique du Cameroun (FSNC), qui est en tête de la liste pour les prochaines élections, continue à faire des choix sur son campagne.