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Dans les communautés rurales suédoises, l'opposition à un nouveau programme est devenue incontournable.
Le gouvernement suédois, soutenu par des partis d'extrême droite, prévoit d'accroître de 3 400 % l'aide financière pour inciter les résidents étrangers ayant un permis de séjour à rentrer chez eux. Mais une vingtaine de communes du royaume refusent de coopérer avec les autorités et estiment qu'elles ne peuvent pas s'en priver pour assurer les services aux citoyens.
Selon des médias locaux, le mouvement de contestation a commencé à Jokkmokk, une petite localité du nord du pays. La municipalité y a refusé d'accueillir la coordinatrice nationale chargée de piloter le nouveau régime, Teresa Zetterblad, qui avait envie d'entamer une discussion sur la manière de renforcer l'action en faveur du retour volontaire.
"Jokkmokk, c'est nous, et non nous et eux", a répondu le conseil municipal. "Ce en quoi nous nous différencions de la vision gouvernementale de l'être humain".
D'autres communes ont également rejoint les mouvements de contestation, ce qui montre que le programme de retour volontaire est loin d'être accepté dans tout le pays.
Le gouvernement suédois, soutenu par des partis d'extrême droite, prévoit d'accroître de 3 400 % l'aide financière pour inciter les résidents étrangers ayant un permis de séjour à rentrer chez eux. Mais une vingtaine de communes du royaume refusent de coopérer avec les autorités et estiment qu'elles ne peuvent pas s'en priver pour assurer les services aux citoyens.
Selon des médias locaux, le mouvement de contestation a commencé à Jokkmokk, une petite localité du nord du pays. La municipalité y a refusé d'accueillir la coordinatrice nationale chargée de piloter le nouveau régime, Teresa Zetterblad, qui avait envie d'entamer une discussion sur la manière de renforcer l'action en faveur du retour volontaire.
"Jokkmokk, c'est nous, et non nous et eux", a répondu le conseil municipal. "Ce en quoi nous nous différencions de la vision gouvernementale de l'être humain".
D'autres communes ont également rejoint les mouvements de contestation, ce qui montre que le programme de retour volontaire est loin d'être accepté dans tout le pays.