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Une jeune mère de famille, victime de féminicide à Besançon : le parcours trouble d'un ex-conjoint condamné à plusieurs reprises pour des faits de violence.
Il s'agit d'une femme de 32 ans qui a été abattue vers 7 heures du matin ce jeudi 20 novembre dans un quartier périphérique de Besançon. Le suspect, son ex-conjoint de 34 ans, était déjà connu pour des antécédents de violence et de dégradation.
Les autorités avaient reçu un appel de la victime avant l'attaque, mais il semblerait qu'il ne s'agissait que d'une simple peur, car le suspect n'avait pas les contacts nécessaires pour avoir une idée concrete des menaces qu'elle lui avait formées. Cependant, il a été placé en garde à vue pour "assassinat" après des négociations avec le Raid.
Le procureur de la République de Besançon a indiqué que le suspect était connu pour avoir commis plusieurs infractions, notamment des faits de violence et de dégradation entre 2019 et 2024. Il avait également été condamné pour harcèlement moral à l'encontre d'une autre femme qui l'avait précédemment connu.
La victime avait déposé plainte contre le suspect en février dernier pour "atteinte à la vie privée" mais les autorités n'avaient pas de connaissance des menaces ou de violence qu'il lui a faites. Elle avait également déposé plainte contre lui pour dégradations sur son véhicule, une procédure qui n'avait pas été notifiée au parquet.
Le nombre de féminicides conjugaux en France augmente constamment depuis 2021 et le gouvernement a décidé d'augmenter les moyens mis à disposition des forces de l'ordre pour lutter contre ce phénomène.
Il s'agit d'une femme de 32 ans qui a été abattue vers 7 heures du matin ce jeudi 20 novembre dans un quartier périphérique de Besançon. Le suspect, son ex-conjoint de 34 ans, était déjà connu pour des antécédents de violence et de dégradation.
Les autorités avaient reçu un appel de la victime avant l'attaque, mais il semblerait qu'il ne s'agissait que d'une simple peur, car le suspect n'avait pas les contacts nécessaires pour avoir une idée concrete des menaces qu'elle lui avait formées. Cependant, il a été placé en garde à vue pour "assassinat" après des négociations avec le Raid.
Le procureur de la République de Besançon a indiqué que le suspect était connu pour avoir commis plusieurs infractions, notamment des faits de violence et de dégradation entre 2019 et 2024. Il avait également été condamné pour harcèlement moral à l'encontre d'une autre femme qui l'avait précédemment connu.
La victime avait déposé plainte contre le suspect en février dernier pour "atteinte à la vie privée" mais les autorités n'avaient pas de connaissance des menaces ou de violence qu'il lui a faites. Elle avait également déposé plainte contre lui pour dégradations sur son véhicule, une procédure qui n'avait pas été notifiée au parquet.
Le nombre de féminicides conjugaux en France augmente constamment depuis 2021 et le gouvernement a décidé d'augmenter les moyens mis à disposition des forces de l'ordre pour lutter contre ce phénomène.