Les forces gouvernementales syriennes ont lancé une offensive contre un camp de djihadistes français proche de la frontière avec la Turquie. Les objectifs de cette opération sont à la fois militaires et judiciaires, car plusieurs djihadistes recherchés par l'État français sont ciblés.
L'un des principaux suspects est Oumar Diaby, alias Omar Omsen, un franco-malien devenu prêcheur et ancien délinquant. Il fait l'objet d'un mandat d'arrêt français depuis 2016 et a été désigné par les États-Unis comme "terroriste international". Selon les forces syriennes, il aurait enlevé une fillette des bras de ses parents ces derniers jours et refusé de se rendre.
Le groupe de djihadistes français, composé d'une cinquantaine de combattants, s'appelle "Firqat al Ghouraba" (le groupe des étrangers) et n'a aucun lien avec l'État islamique. Cependant, ils sont désormais traqués par le nouveau président par intérim Ahmad al-Chareh, qui est soucieux de faire oublier son passé de djihadiste.
L'opération a débuté depuis hier et les forces gouvernementales syriennes ont pris position autour du camp. Les autorités françaises ne seembloient pas disposer d'informations précises sur l'état actuel des opérations, mais ils s'expriment prudemment en ce moment sur la situation.
Cette opération marque une nouvelle étape dans les efforts des forces gouvernementales syriennes pour combattre les groupes djihadistes en Syrie et dans le bassin du golfe Persique.
L'un des principaux suspects est Oumar Diaby, alias Omar Omsen, un franco-malien devenu prêcheur et ancien délinquant. Il fait l'objet d'un mandat d'arrêt français depuis 2016 et a été désigné par les États-Unis comme "terroriste international". Selon les forces syriennes, il aurait enlevé une fillette des bras de ses parents ces derniers jours et refusé de se rendre.
Le groupe de djihadistes français, composé d'une cinquantaine de combattants, s'appelle "Firqat al Ghouraba" (le groupe des étrangers) et n'a aucun lien avec l'État islamique. Cependant, ils sont désormais traqués par le nouveau président par intérim Ahmad al-Chareh, qui est soucieux de faire oublier son passé de djihadiste.
L'opération a débuté depuis hier et les forces gouvernementales syriennes ont pris position autour du camp. Les autorités françaises ne seembloient pas disposer d'informations précises sur l'état actuel des opérations, mais ils s'expriment prudemment en ce moment sur la situation.
Cette opération marque une nouvelle étape dans les efforts des forces gouvernementales syriennes pour combattre les groupes djihadistes en Syrie et dans le bassin du golfe Persique.