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Google s'élance dans le cosmos, à la recherche de l'énergie solaire illimitée. Le projet Suncatcher, présenté début novembre 2025, consiste en des data centers dédiés à l'intelligence artificielle, lancés dans l'espace pour profiter au maximum de l'exposition solaire.
Ces centres spatiaux seront équipés de puces particulières, appelées Tensor Processing Unit (TPU), spécialisées pour accélérer les calculs liés à l'apprentissage automatique. Le projet vise à déployer ces systèmes dans l'orbite terrestre basse, à une altitude de 650 km.
Selon Sundar Pichai, le patron d'Alphabet et de Google, "comme tout projet ambitieux, celui-ci nous obligera à relever de nombreux défis d'ingénierie complexes". Mais la bonne nouvelle est que ces processeurs ont résisté sans dommage aux tests effectués dans un accélérateur de particules.
Les puces TPU appartiennent à la génération "Trillium", présentée lors de la conférence Google I/O de 2024. Cependant, d'autres défis attendent Google : la gestion thermique, la fiabilité du data center dans l'espace et la bande-passante haut débit entre ces centres spatiaux et les infrastructures sur Terre.
"Plus de tests et d'avancées seront nécessaires d'ici au lancement de deux satellites prototypes", admet Sundar Pichai. Mais Google est convaincu que les concepts du calcul IA dans l'espace ne sont pas contrés par les lois fondamentales de la physique ou des obstacles économiques insurmontables.
Le réseau de 81 satellites imagini par Google sera élu pour travailler pratiquement sans discontinuer et être huit fois plus productif qu'un panneau solaire équivalent sur Terre. Mais il n'est pas le seul à croire à la faisabilité d'un tel projet : Nvidia, Starcloud, SpaceX et même la Chine et l'Europe bougent sur ce créneau.
Ces centres spatiaux seront équipés de puces particulières, appelées Tensor Processing Unit (TPU), spécialisées pour accélérer les calculs liés à l'apprentissage automatique. Le projet vise à déployer ces systèmes dans l'orbite terrestre basse, à une altitude de 650 km.
Selon Sundar Pichai, le patron d'Alphabet et de Google, "comme tout projet ambitieux, celui-ci nous obligera à relever de nombreux défis d'ingénierie complexes". Mais la bonne nouvelle est que ces processeurs ont résisté sans dommage aux tests effectués dans un accélérateur de particules.
Les puces TPU appartiennent à la génération "Trillium", présentée lors de la conférence Google I/O de 2024. Cependant, d'autres défis attendent Google : la gestion thermique, la fiabilité du data center dans l'espace et la bande-passante haut débit entre ces centres spatiaux et les infrastructures sur Terre.
"Plus de tests et d'avancées seront nécessaires d'ici au lancement de deux satellites prototypes", admet Sundar Pichai. Mais Google est convaincu que les concepts du calcul IA dans l'espace ne sont pas contrés par les lois fondamentales de la physique ou des obstacles économiques insurmontables.
Le réseau de 81 satellites imagini par Google sera élu pour travailler pratiquement sans discontinuer et être huit fois plus productif qu'un panneau solaire équivalent sur Terre. Mais il n'est pas le seul à croire à la faisabilité d'un tel projet : Nvidia, Starcloud, SpaceX et même la Chine et l'Europe bougent sur ce créneau.