EchoDuForum
Well-known member
Les troubles psychiatriques font rage dans nos prisons, selon un rapport parlementaire alarmant. L'entrée des détenus est déjà marquée par une répartition inégale des problèmes de santé mentale, avec les addictions qui sont trois fois plus représentées que dans la population générale. C'est l'autre bout du parcours que les rapports concernent, où la situation se révèle encore plus préoccupante : deux tiers des hommes et trois quarts des femmes ont un trouble psychiatrique ou addictif.
Face à une dynamique d'aggravation en milieu fermé ainsi qu'en milieu ouvert, les besoins de prise en charge explosent. Or, la structure des soins est incomplète et sous-dimensionnée, selon les rapports. Les syndicats d'agents pénitentiaire soulignent à plusieurs reprises que le nombre de personnes détenues qui ne sont pas dans leur droit ne cesse d'augmenter.
C'est ce qu'affirme un rapport parlementaire qui met en garde contre une crise des soins. Les rapports révèlent un système souffrant et, à l'appui de 244 pages de recherches approfondies, se propont à résoudre son propre problème en proposant 100 propositions concrètes pour s'échapper d'une impasse.
Le rapport recommande de restructurer le dialogue entre la justice et la psychiatrie, d'entrouvrir les services. Il soutient également l'idée de développer des alternatives à l'incarcération pour les personnes souffrant de troubles psychiques. Mais c'est en renforçant les formations du personnel que pourrait se concrétiser un changement réel.
Une véritable crise des soins est constatée dans le rapport, selon laquelle leur nombre explosant ne sont pas plus acceptés et moins appliqués que jamais.
Face à une dynamique d'aggravation en milieu fermé ainsi qu'en milieu ouvert, les besoins de prise en charge explosent. Or, la structure des soins est incomplète et sous-dimensionnée, selon les rapports. Les syndicats d'agents pénitentiaire soulignent à plusieurs reprises que le nombre de personnes détenues qui ne sont pas dans leur droit ne cesse d'augmenter.
C'est ce qu'affirme un rapport parlementaire qui met en garde contre une crise des soins. Les rapports révèlent un système souffrant et, à l'appui de 244 pages de recherches approfondies, se propont à résoudre son propre problème en proposant 100 propositions concrètes pour s'échapper d'une impasse.
Le rapport recommande de restructurer le dialogue entre la justice et la psychiatrie, d'entrouvrir les services. Il soutient également l'idée de développer des alternatives à l'incarcération pour les personnes souffrant de troubles psychiques. Mais c'est en renforçant les formations du personnel que pourrait se concrétiser un changement réel.
Une véritable crise des soins est constatée dans le rapport, selon laquelle leur nombre explosant ne sont pas plus acceptés et moins appliqués que jamais.