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L'ambulance de la Somalie : sans aides internationales, l'hôpital rouvre malgré tout.
La Somalie plonge dans une crise sanitaire désespérante depuis la suppression de l'aide internationale par l'administration Trump. Le sud du pays connaît une situation dramatique, où les soignants ont décidé de reprendre en main un hôpital fermé, malgré le manque de salaires et les risques pour leur sécurité.
Le centre maternel et infantile Suuqa Xoolaha Center for Mothers and Children, situé à Baidoa, s'est retrouvé sans financement international après que l'administration Trump a coupé les aides. Les employés du centre ont dû fermer leurs portes et verrouiller le grand portail d'entrée pour ne pas pouvoir payer le personnel ni les fournitures médicales.
C'est ainsi que des femmes enceintes, comme Khadija Ali de 25 ans, sont arrivées à l'hôpital malgré tout. La jeune femme avait fait le déplacement depuis un camp de personnes déplacées, sans avoir d'autre choix, car la Somalie a l'un des taux de mortalité maternelle les plus élevés au monde.
Les infirmières et sages-femmes du centre, qui avaient déjà été licenciées pour cause de manque de financement, sont retournées sur le front, malgré leur désespoir. Elles ne disposent pas d'argent pour prendre soin de leurs propres enfants, mais elles ne peuvent abandonner les autres.
C'est un cas tragique qui montre à quel point la Somalie est vulnérable face à l'aide internationale. Les décisions politiques qui ont été prises sans consulter les besoins réels du peuple sont de plus en plus percutantes et malsains.
La Somalie plonge dans une crise sanitaire désespérante depuis la suppression de l'aide internationale par l'administration Trump. Le sud du pays connaît une situation dramatique, où les soignants ont décidé de reprendre en main un hôpital fermé, malgré le manque de salaires et les risques pour leur sécurité.
Le centre maternel et infantile Suuqa Xoolaha Center for Mothers and Children, situé à Baidoa, s'est retrouvé sans financement international après que l'administration Trump a coupé les aides. Les employés du centre ont dû fermer leurs portes et verrouiller le grand portail d'entrée pour ne pas pouvoir payer le personnel ni les fournitures médicales.
C'est ainsi que des femmes enceintes, comme Khadija Ali de 25 ans, sont arrivées à l'hôpital malgré tout. La jeune femme avait fait le déplacement depuis un camp de personnes déplacées, sans avoir d'autre choix, car la Somalie a l'un des taux de mortalité maternelle les plus élevés au monde.
Les infirmières et sages-femmes du centre, qui avaient déjà été licenciées pour cause de manque de financement, sont retournées sur le front, malgré leur désespoir. Elles ne disposent pas d'argent pour prendre soin de leurs propres enfants, mais elles ne peuvent abandonner les autres.
C'est un cas tragique qui montre à quel point la Somalie est vulnérable face à l'aide internationale. Les décisions politiques qui ont été prises sans consulter les besoins réels du peuple sont de plus en plus percutantes et malsains.