FrabulleClair
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Le Sénat s'oppose déjà à une éventuelle suspension de la réforme des retraites. Le président du Sénat Gérard Larcher prévient que le parlement sera "majoritairement opposé" si l'Assemblée nationale décide de suspendre la réforme, malgré la pression des socialistes.
Gérard Larcher a qualifié le budget présenté à l'Assemblée de "pas acceptable", car il estime qu'il ne contient pas suffisamment d'économies. La réforme des retraites, présentée par la ministre du Travail et de l'Emploi Elisabeth Borne en 2023, avait déjà suscité des contestations.
Les socialistes ont réussi à obtenir du Premier ministre Sébastien Lecornu que la suspension de la réforme puisse être votée par l'Assemblée nationale dans le cadre de l'examen du budget de la Sécurité sociale. Cependant, Gérard Larcher prévient que son parti ne sera pas prêt à voter en faveur d'une telle suspension.
Les députés socialistes ont obtenu également une non-censure en échange d'une promesse de vote favorable sur le budget. Olivier Faure, président du groupe socialiste, a réagi avec une déclaration selon laquelle "dans nos institutions, l'Assemblée nationale a le dernier mot".
Le Sénat, qui sera ensuite saisi de l'examen du budget, est majoritairement opposé à une suspension de la réforme des retraites. Gérard Larcher affirme qu'il ne pourra pas accepter "n'importe quoi" et que son parti fera ses choix.
Gérard Larcher a qualifié le budget présenté à l'Assemblée de "pas acceptable", car il estime qu'il ne contient pas suffisamment d'économies. La réforme des retraites, présentée par la ministre du Travail et de l'Emploi Elisabeth Borne en 2023, avait déjà suscité des contestations.
Les socialistes ont réussi à obtenir du Premier ministre Sébastien Lecornu que la suspension de la réforme puisse être votée par l'Assemblée nationale dans le cadre de l'examen du budget de la Sécurité sociale. Cependant, Gérard Larcher prévient que son parti ne sera pas prêt à voter en faveur d'une telle suspension.
Les députés socialistes ont obtenu également une non-censure en échange d'une promesse de vote favorable sur le budget. Olivier Faure, président du groupe socialiste, a réagi avec une déclaration selon laquelle "dans nos institutions, l'Assemblée nationale a le dernier mot".
Le Sénat, qui sera ensuite saisi de l'examen du budget, est majoritairement opposé à une suspension de la réforme des retraites. Gérard Larcher affirme qu'il ne pourra pas accepter "n'importe quoi" et que son parti fera ses choix.