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La Côte d'Ivoire s'apprête à voter ce samedi 25 octobre 2025 pour le premier tour de l'élection présidentielle, où les neuf millions d'électeurs devront départager cinq candidats. La campagne électorale touche à sa fin et les enjeux sont nombreux : la vie chère, l'emploi et la sécurité.
L'actuel dirigeant ivoirien Alassane Ouattara est en lice pour un quatrième mandat, mais se démarque devant lui quatre autres candidats. Parmi eux, Simone Ehivet, ex-première dame et ex-épouse de Laurent Gbagbo, Jean-Louis Billon, grand patron et ancien ministre PDCI du Commerce, Henriette Lagou, ancienne ministre, Ahoua Don Mello, candidat indépendant et ancien du PPA-CI.
Des craintes de violences post-électorales font l'objet d'une attention particulière. Le climat se crispe dans le pays et des mouvements de protestation sont signalés. Certains manifestants ont été interpellés et un individu est mort après avoir présenté des signes d'essoufflement.
La lutte contre la vie chère sera l'une des clés de cette élection. Les pressions sur le pouvoir d'achat des Ivoiriens sont réelles, malgré le taux d'inflation faible. Stanislas Zeze, fondateur de Bloomfield Investment Corporation, rappelle que ce n'est pas que les choses coûtent cher, mais que les gens n'ont pas d'argent.
L'emploi et la jeunesse sont également des enjeux majeurs. Les jeunes Ivoiriens sont en colère, notamment en raison de l'inadéquation entre l'offre de formation et les besoins des entreprises. Séverin Kouamé, sociologue et enseignant-chercheur à l'université de Bouaké, estime que la colère des jeunes pourrait se refléter dans l'abstention.
La sécurité fait également partie des enjeux, avec certaines candidats qui font de l'argument sécuritaire une priorité. Abdourahmane Barry, docteur en sociologie politique, craint de voir se reproduire des événements similaires à la dernière élection présidentielle de 2020.
Les cinq candidats ont mis les mêmes thèmes au centre de leurs programmes respectifs. Les questions de vie chère, d'emploi et de sécurité seront donc à l'honneur lors du premier tour de cette élection présidentielle.
L'actuel dirigeant ivoirien Alassane Ouattara est en lice pour un quatrième mandat, mais se démarque devant lui quatre autres candidats. Parmi eux, Simone Ehivet, ex-première dame et ex-épouse de Laurent Gbagbo, Jean-Louis Billon, grand patron et ancien ministre PDCI du Commerce, Henriette Lagou, ancienne ministre, Ahoua Don Mello, candidat indépendant et ancien du PPA-CI.
Des craintes de violences post-électorales font l'objet d'une attention particulière. Le climat se crispe dans le pays et des mouvements de protestation sont signalés. Certains manifestants ont été interpellés et un individu est mort après avoir présenté des signes d'essoufflement.
La lutte contre la vie chère sera l'une des clés de cette élection. Les pressions sur le pouvoir d'achat des Ivoiriens sont réelles, malgré le taux d'inflation faible. Stanislas Zeze, fondateur de Bloomfield Investment Corporation, rappelle que ce n'est pas que les choses coûtent cher, mais que les gens n'ont pas d'argent.
L'emploi et la jeunesse sont également des enjeux majeurs. Les jeunes Ivoiriens sont en colère, notamment en raison de l'inadéquation entre l'offre de formation et les besoins des entreprises. Séverin Kouamé, sociologue et enseignant-chercheur à l'université de Bouaké, estime que la colère des jeunes pourrait se refléter dans l'abstention.
La sécurité fait également partie des enjeux, avec certaines candidats qui font de l'argument sécuritaire une priorité. Abdourahmane Barry, docteur en sociologie politique, craint de voir se reproduire des événements similaires à la dernière élection présidentielle de 2020.
Les cinq candidats ont mis les mêmes thèmes au centre de leurs programmes respectifs. Les questions de vie chère, d'emploi et de sécurité seront donc à l'honneur lors du premier tour de cette élection présidentielle.