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Un calme absolu a régné à Abidjan, dans les centres visités, le jour du premier tour de la présidentielle en Côte d'Ivoire. Le vote s'est déroulé sans perturbations majeures, malgré une prévisibilité basse des électeurs.
Sur les 44 000 agents des forces de défense et de sécurité déployés dans tout le pays pour sécuriser le scrutin, les policiers sont nombreux à attendre en vain. Seuls quelques observateurs étrangers et deux représentants du Conseil national des droits de l'homme (CNDH) ont pu accéder aux bureaux de vote sans encombre.
Chez les électeurs eux-mêmes, on remarque un air de fatalisme. "Du coup, ça va aller vite", a même dit un chauffeur de VTC qui attend son tour de conduire, avant d'espérer qu'il pourra profiter de la paix pour se déplacer.
Sous le soleil du dimanche, les files sont longues mais calmes. Les gens semblent avoir compris que le vote est une affaire sérieuse. "Il y a le calme et la sérénité", a résumé l'une d'elles après son passage au bureau de vote.
Dans certains quartiers populaires comme Adjamé, on remarque néanmoins des petits groupes d'électeurs qui se rassemblent à l'avant-porte du collège. Leur espérance est que la journée sera sans encombre et qu'ils pourront voter sereinement.
C'est le calme de la maîtrise. Cependant, il reste à attendre les résultats. La Commission électorale indépendante (CEI) doit publier les résultats globaux provisoires entre le 26 et le 30 octobre avant que le Conseil constitutionnel ne proclame définitivement les vainqueurs de cette présidentielle 2025.
Sur les 44 000 agents des forces de défense et de sécurité déployés dans tout le pays pour sécuriser le scrutin, les policiers sont nombreux à attendre en vain. Seuls quelques observateurs étrangers et deux représentants du Conseil national des droits de l'homme (CNDH) ont pu accéder aux bureaux de vote sans encombre.
Chez les électeurs eux-mêmes, on remarque un air de fatalisme. "Du coup, ça va aller vite", a même dit un chauffeur de VTC qui attend son tour de conduire, avant d'espérer qu'il pourra profiter de la paix pour se déplacer.
Sous le soleil du dimanche, les files sont longues mais calmes. Les gens semblent avoir compris que le vote est une affaire sérieuse. "Il y a le calme et la sérénité", a résumé l'une d'elles après son passage au bureau de vote.
Dans certains quartiers populaires comme Adjamé, on remarque néanmoins des petits groupes d'électeurs qui se rassemblent à l'avant-porte du collège. Leur espérance est que la journée sera sans encombre et qu'ils pourront voter sereinement.
C'est le calme de la maîtrise. Cependant, il reste à attendre les résultats. La Commission électorale indépendante (CEI) doit publier les résultats globaux provisoires entre le 26 et le 30 octobre avant que le Conseil constitutionnel ne proclame définitivement les vainqueurs de cette présidentielle 2025.