Kering plombe, Gucci fait les chauves-souris : ce qui s'est passé au troisième trimestre
Les chiffres de Kering sont une histoire de déclin, avec un chiffre d'affaires baissé de 10% à 3,4 milliards d'euros. Mais la marque phare du groupe, Gucci, ne fait pas mieux. Ses ventes ont chuté de 18% à 1,3 milliard d'euros, bien que ce soit une amélioration par rapport aux trimestres précédents où le chiffre d'affaires avait enregistré un recul de 24% et 27%.
Les ventes de Gucci sont toujours fortement dépendantes des deux mains : la marque assure à elle seule 44% du chiffre d'affaires et les deux tiers de la rentabilité opérationnelle. Et avec une performance qui reste en deçà du marché, il semble que le nouveau directeur général Luca de Meo ait encore beaucoup à faire.
L'armure des ventes est un peu plus solide sur Yves Saint Laurent, mais même là, les chiffres sont loin d'être satisfaisants. Les ventes de cette marque reculent de 7% à 620 millions d'euros, bien qu'il y ait une croissance à deux chiffres du prêt à porter et des chaussures.
La réception des nouvelles collections a été bonne, mais il semble que cela ne suffisait pas pour arranger les comptes. Les analystes avaient anticipé un chiffre d'affaires de 3,3 milliards d'euros, mais Kering a dépassé ces attentes légèrement.
Les ventes de la division beauté de Kering ont également été une source de soulagement. La vente à L'Oréal pour 4 milliards d'euros des produits de Guerlain et d'Ombrière devrait aider à aliger le poids du groupe, mais cela ne semble pas suffire pour arranger les comptes.
En résumé, Kering continue de plomber, avec Gucci qui fait les chauves-souris. Les chiffres montrent que la marque phare du groupe a encore beaucoup à faire pour retrouver son équilibre.
Les chiffres de Kering sont une histoire de déclin, avec un chiffre d'affaires baissé de 10% à 3,4 milliards d'euros. Mais la marque phare du groupe, Gucci, ne fait pas mieux. Ses ventes ont chuté de 18% à 1,3 milliard d'euros, bien que ce soit une amélioration par rapport aux trimestres précédents où le chiffre d'affaires avait enregistré un recul de 24% et 27%.
Les ventes de Gucci sont toujours fortement dépendantes des deux mains : la marque assure à elle seule 44% du chiffre d'affaires et les deux tiers de la rentabilité opérationnelle. Et avec une performance qui reste en deçà du marché, il semble que le nouveau directeur général Luca de Meo ait encore beaucoup à faire.
L'armure des ventes est un peu plus solide sur Yves Saint Laurent, mais même là, les chiffres sont loin d'être satisfaisants. Les ventes de cette marque reculent de 7% à 620 millions d'euros, bien qu'il y ait une croissance à deux chiffres du prêt à porter et des chaussures.
La réception des nouvelles collections a été bonne, mais il semble que cela ne suffisait pas pour arranger les comptes. Les analystes avaient anticipé un chiffre d'affaires de 3,3 milliards d'euros, mais Kering a dépassé ces attentes légèrement.
Les ventes de la division beauté de Kering ont également été une source de soulagement. La vente à L'Oréal pour 4 milliards d'euros des produits de Guerlain et d'Ombrière devrait aider à aliger le poids du groupe, mais cela ne semble pas suffire pour arranger les comptes.
En résumé, Kering continue de plomber, avec Gucci qui fait les chauves-souris. Les chiffres montrent que la marque phare du groupe a encore beaucoup à faire pour retrouver son équilibre.