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Une question de Christine nous a été adressée. Elle s'inscrit dans un contexte où la fiscalité et les règles d'épargne sont en constante évolution.
Le terme "vieux" PEL fait référence à des plans d'épargne logement ouverts avant mars 2011, comme celui de Christine qui date de 1995. Son conseillère bancaire lui a annoncé qu'il allait clôturer en 2026, ce qui n'est pas le cas.
En effet, les PEL ouverts après mars 2011 sont soumis à une règle de clôture automatique au bout de 15 ans, tandis que ceux ouverts avant cette date n'ont pas de date limite. Ce dernier bénéficie donc d'une réglementation beaucoup plus favorable.
Et pour quelle raison ? En effet, les intérêts produits sur un PEL de cette période sont soumis à la fiscalité, mais seulement si le plan a plus de 12 ans, ce qui signifie que Christine ne paiera que le prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30% en 2026. Son taux net serait donc de 2,69%.
En outre, les versements sur un PEL ont une limite de dix ans. Christine a donc déjà dépassé cette période en 2005 et ne peut plus y faire de versement.
C'est pourquoi la meilleure option pour elle reste de conserver ce vieux PEL, qui lui permet de produire des intérêts à un taux garanti de 3,84% brut. Elle pourrait également envisager l'ouverture d'une assurance vie en fonds euros, ce qui lui donnerait accès à un produit d'épargne plus avantageux et à la possibilité de transmettre son capital à sa mort.
En résumé, il s'agit d'un terme technique. Le conseiller bancaire devrait avoir été plus précis pour éviter toute confusion.
Le terme "vieux" PEL fait référence à des plans d'épargne logement ouverts avant mars 2011, comme celui de Christine qui date de 1995. Son conseillère bancaire lui a annoncé qu'il allait clôturer en 2026, ce qui n'est pas le cas.
En effet, les PEL ouverts après mars 2011 sont soumis à une règle de clôture automatique au bout de 15 ans, tandis que ceux ouverts avant cette date n'ont pas de date limite. Ce dernier bénéficie donc d'une réglementation beaucoup plus favorable.
Et pour quelle raison ? En effet, les intérêts produits sur un PEL de cette période sont soumis à la fiscalité, mais seulement si le plan a plus de 12 ans, ce qui signifie que Christine ne paiera que le prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30% en 2026. Son taux net serait donc de 2,69%.
En outre, les versements sur un PEL ont une limite de dix ans. Christine a donc déjà dépassé cette période en 2005 et ne peut plus y faire de versement.
C'est pourquoi la meilleure option pour elle reste de conserver ce vieux PEL, qui lui permet de produire des intérêts à un taux garanti de 3,84% brut. Elle pourrait également envisager l'ouverture d'une assurance vie en fonds euros, ce qui lui donnerait accès à un produit d'épargne plus avantageux et à la possibilité de transmettre son capital à sa mort.
En résumé, il s'agit d'un terme technique. Le conseiller bancaire devrait avoir été plus précis pour éviter toute confusion.