FrancoTchat
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Moody's a maintenu la note souveraine de la France à AA3, malgré l'abaissement de sa perspective de "stable" à "négative". L'agence de notation a souligné les risques croissants d'une fragmentation durable du paysage politique français et d'un affaiblissement des institutions et de la gouvernance. Cette décision n'a pas étonné, car les indicateurs financiers de la France sont reculés en termes de qualité de la dette.
Philippe Trainar, membre du Cercle des économistes et professeur émérite au Conservatoire national des arts et métiers, a réagi avec une certaine scepticité : « Ce n'est pas grand chose. La France est toujours dans la première moitié des pays en termes de finances publiques ». Il a souligné que les agences de notation sont devenues prudentes depuis 2008, ce qui signifie qu'elles ne veulent ni intervenir trop tôt, ni trop tard.
L'agence Moody's a également pointé du doigt la crise politique inédite qui traverse la France ces dernières semaines. Malgré cela, Philippe Trainar estime que la dette française de qualité est préservée et qu'il n'existe pas de crise imminente à prévoir.
En revanche, Emmanuel Cugny, journaliste du Capitale, a estimé que l'impact de cette décision n'était pas attendu : « Le compte-rendu de Moody's pouvait s'y attendre mais il n'y a pas vraiment d'impact attendu ».
Philippe Trainar, membre du Cercle des économistes et professeur émérite au Conservatoire national des arts et métiers, a réagi avec une certaine scepticité : « Ce n'est pas grand chose. La France est toujours dans la première moitié des pays en termes de finances publiques ». Il a souligné que les agences de notation sont devenues prudentes depuis 2008, ce qui signifie qu'elles ne veulent ni intervenir trop tôt, ni trop tard.
L'agence Moody's a également pointé du doigt la crise politique inédite qui traverse la France ces dernières semaines. Malgré cela, Philippe Trainar estime que la dette française de qualité est préservée et qu'il n'existe pas de crise imminente à prévoir.
En revanche, Emmanuel Cugny, journaliste du Capitale, a estimé que l'impact de cette décision n'était pas attendu : « Le compte-rendu de Moody's pouvait s'y attendre mais il n'y a pas vraiment d'impact attendu ».