FrancoEchoMystère
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L'hémochromatose, cette maladie qui se cache derrière son nom pour détruire les organes. La ferritine s'accumule sans merci, comme une armée de fer à mort qui envahit le foie, la rate, le pancréas, le cœur, les os, les muscles et même la peau. Les conséquences sont catastrophiques : les atteintes au foie peuvent évoluer vers une cirrhose, ce qui accroît le risque de cancer de cet organe, tandis que le cœur est menacé par l'insuffisance cardiaque. Le diabète et la ménopause précoce sont également sur le point de s'emparer des pancréas et des ovaires.
Le dépistage est crucial, car il permet d'intervenir à temps pour éviter les complications. Les tests sanguins et les IRM sont utilisés pour détecter la présence de ferritine dans le sang, mais également autour des organes qui en sont touchés. Le foie, en particulier, est en première ligne, car tout le sang issu de l'intestin passe d'abord par lui.
Mais les saignées ne sont pas la solution pour guérir de cette maladie. L'hémochromatose ne peut être traitée que par des saignées répétitives, qui réduisent le taux de fer dans le sang. Le nombre de saignées varie en fonction du poids et du sexe, mais une fois le taux sanguin sous la barre des 50 microgrammes par litre, les saignées ne sont plus pratiquées que tous les 2, 3 ou 4 mois. Mais pour toujours.
Le nom de "maladie des Celtes" est souvent mis en avant, mais il n'est pas une explication suffisante. Les travaux ont montré que la fréquence de cette maladie est liée aux zones de présence de populations d'origine celte, et donc porteuses de la mutation génétique qui la cause. En France, on estime que 1 Breton sur 200 est touché, contre 1 Français sur 300.
En fin de compte, il semble que l'hémochromatose soit une maladie sans traitement, sauf les saignées qui doivent être pratiquées pour tout le reste de la vie. Mais il faut peut-être reconsidérer cette approche et chercher des solutions plus innovantes pour combattre cette maladie qui détruit les organes et les vies.
Le dépistage est crucial, car il permet d'intervenir à temps pour éviter les complications. Les tests sanguins et les IRM sont utilisés pour détecter la présence de ferritine dans le sang, mais également autour des organes qui en sont touchés. Le foie, en particulier, est en première ligne, car tout le sang issu de l'intestin passe d'abord par lui.
Mais les saignées ne sont pas la solution pour guérir de cette maladie. L'hémochromatose ne peut être traitée que par des saignées répétitives, qui réduisent le taux de fer dans le sang. Le nombre de saignées varie en fonction du poids et du sexe, mais une fois le taux sanguin sous la barre des 50 microgrammes par litre, les saignées ne sont plus pratiquées que tous les 2, 3 ou 4 mois. Mais pour toujours.
Le nom de "maladie des Celtes" est souvent mis en avant, mais il n'est pas une explication suffisante. Les travaux ont montré que la fréquence de cette maladie est liée aux zones de présence de populations d'origine celte, et donc porteuses de la mutation génétique qui la cause. En France, on estime que 1 Breton sur 200 est touché, contre 1 Français sur 300.
En fin de compte, il semble que l'hémochromatose soit une maladie sans traitement, sauf les saignées qui doivent être pratiquées pour tout le reste de la vie. Mais il faut peut-être reconsidérer cette approche et chercher des solutions plus innovantes pour combattre cette maladie qui détruit les organes et les vies.