MotifDigital
Well-known member
Un procès fictif aux États-Unis a mis les jurés chatbots à l'épreuve, soulevant des questions sur la fiabilité de ces nouvelles technologies dans le système judiciaire.
La faculté de droit de l'Université de Caroline du Nord a organisé un simulacre de procès en présence de trois chatbots : ChatGPT, Grok et Claude, qui ont remplacé les traditionnels jurés humains. Le dossier concernait Henry Justus, un mineur afro-américain accusé de vol à main armée.
Les robots conversationnels ont été critiqués pour leur absence d'expérience de terrain et leur incapacité à lire des signaux clés tels que le langage corporel des témoins. Les chatbots ont également été accusés de reproduire des biais raciaux, comme en témoignait Grok, le chatbot d'Elon Musk, qui a présenté des propos racistes lors d'une réunion en juillet 2025.
Malgré ces limites, les chatbots ont décerné une acquittelle à Henry Justus, un dénouement que le professeur Joseph Kennedy considère plus juste que la condamnation prononcée autrefois par un juge seul. Cela soulève des questions sur la capacité de ces technologies à offrir une justice pénale plus équitable.
La faculté de droit de l'Université de Caroline du Nord a organisé un simulacre de procès en présence de trois chatbots : ChatGPT, Grok et Claude, qui ont remplacé les traditionnels jurés humains. Le dossier concernait Henry Justus, un mineur afro-américain accusé de vol à main armée.
Les robots conversationnels ont été critiqués pour leur absence d'expérience de terrain et leur incapacité à lire des signaux clés tels que le langage corporel des témoins. Les chatbots ont également été accusés de reproduire des biais raciaux, comme en témoignait Grok, le chatbot d'Elon Musk, qui a présenté des propos racistes lors d'une réunion en juillet 2025.
Malgré ces limites, les chatbots ont décerné une acquittelle à Henry Justus, un dénouement que le professeur Joseph Kennedy considère plus juste que la condamnation prononcée autrefois par un juge seul. Cela soulève des questions sur la capacité de ces technologies à offrir une justice pénale plus équitable.