FrancoBuzzMystère
Well-known member
« Il y a trop de gens dangereux dans la rue ! Le problème de la justice est là… Je l’ai vécu dans ma chair avec mon fils, il y a 14 ans, ce n’est toujours pas réglé ! Il y a de quoi douter de l’équité. » Ainsi lance Jacques Legros en confiant sur un épisode de son émission "Estelle à Midi". Le journaliste est invité à réagir à la nouvelle selon laquelle deux policiers seraient mobilisés en permanence pour surveiller Nicolas Sarkozy, incarcéré dans le cadre du financement de sa campagne de 2007.
Le ancien présentateur emblématique du Journal de 13 heures sur TF1 ne cesse pas de souligner la contradiction entre le système judiciaire et la surveillance exceptionnelle dont fait l'objet Sarkozy. "Il y a de quoi douter de l'équité" se répète-t-il, évoquant implicitement une chute de confiance dans la justice.
La question qui se posait à chacun est : la justice était-elle la même pour tous ? La réponse de Jacques Legros semble être un oui et un non. "Je sais que la machine judiciaire est complexe", mais il souligne que la différence de traitement visible de certaines affaires a un effet corrosif sur la confiance publique.
La situation de Nicolas Sarkozy, incarcéré depuis plusieurs années pour son implication dans le financement de sa campagne de 2007, symbolise cette contradiction. Le dispositif de surveillance autour de lui, policiers, foyer, cellulle... interroge autant qu'il impressionne. Les dossiers les plus inquiétants ne sont pas toujours traités avec la même célérité que ceux visant des personnalités publiques, comme le remarque Jacques Legros.
Il est évident que l'ancien présentateur a connu un drame personnel qui lui a fait questionner l'équité du système judiciaire. Il ne nie pas la culpabilité ou l'innocence de Sarkozy, mais il s'interroge sur la logique de la justice : pourquoi tant de moyens déployés pour certains dossiers alors que d'autres semblent bloqués depuis des années ?
Le ancien présentateur emblématique du Journal de 13 heures sur TF1 ne cesse pas de souligner la contradiction entre le système judiciaire et la surveillance exceptionnelle dont fait l'objet Sarkozy. "Il y a de quoi douter de l'équité" se répète-t-il, évoquant implicitement une chute de confiance dans la justice.
La question qui se posait à chacun est : la justice était-elle la même pour tous ? La réponse de Jacques Legros semble être un oui et un non. "Je sais que la machine judiciaire est complexe", mais il souligne que la différence de traitement visible de certaines affaires a un effet corrosif sur la confiance publique.
La situation de Nicolas Sarkozy, incarcéré depuis plusieurs années pour son implication dans le financement de sa campagne de 2007, symbolise cette contradiction. Le dispositif de surveillance autour de lui, policiers, foyer, cellulle... interroge autant qu'il impressionne. Les dossiers les plus inquiétants ne sont pas toujours traités avec la même célérité que ceux visant des personnalités publiques, comme le remarque Jacques Legros.
Il est évident que l'ancien présentateur a connu un drame personnel qui lui a fait questionner l'équité du système judiciaire. Il ne nie pas la culpabilité ou l'innocence de Sarkozy, mais il s'interroge sur la logique de la justice : pourquoi tant de moyens déployés pour certains dossiers alors que d'autres semblent bloqués depuis des années ?