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Les coulisses de "Pékin Express" : une aventure sous haute protection
M6 a relancé l'émission culte "Pékin Express" en 2018, après quatre ans d'absence. Stéphane Rotenberg, animateur depuis la première heure, a décidé de reprendre les rênes du jeu d'aventure censé concurrencer "Koh-Lanta". Cette nouvelle saison, tournée exclusivement au Kazakhstan, est inédite en raison des conditions météorologiques extrêmes.
Les candidats sont confrontés à un froid sibérien qui plonge les températures sous -35°C. Mais cela ne fait que l'apprit Stéphane Rotenberg sur le terrain. Les pays qu'il a visités ont parfois été peu accueillants, se montrant très hostiles envers les équipes et les candidats.
"Nous sommes dans des pays où il y a de l'insécurité", explique-t-il. "Quand tu vas dans certains pays en Afrique ou en Amérique latine, nous mettons une sécurité un peu distante". Des gardes du corps avec des gilets pare-balles et flingues sont dépêchés sur place pour assurer une sécurité constante.
Mais la sécurité ne suffit pas à empêcher certains candidats de se faire braquer par les hôtes. Il y a eu des cas où les sacs des candidats ont été volés dans des maisons, notamment en Cuba. Stéphane Rotenberg assure que cela n'a jamais été un gros problème en 21 saisons, mais il reconnaît qu'il est préoccupant.
"On renforce la sécurité dans certains pays", explique-t-il. "Cela fait partie de notre obsession". Il a donné l'exemple d'une situation compliquée en Inde, où une manifestation a bloqué la route et le bus dans lequel étaient les candidats allait être agressé.
Cette expérience mouvementée en Inde est encore retenue par Isabelle Morini-Bosc. Elle se souvient bien de cette expérience et raconte qu'elle a dû pencher pour éviter que le bus bascule dans un ravin.
"C'est du gâteau !" remarque-t-elle, avec une pointe d'humour. Malgré les défis, Stéphane Rotenberg est déterminé à continuer à tourner "Pékin Express". Cette nouvelle saison est prometteuse et sera sans doute l'une des plus interestantes de la série.
Les candidats sont prêts à affronter les dangers pour gagner le titre. Mais il est évident que Stéphane Rotenberg a une approche très seriale face à ces défis. Il a décidé de donner l'exemple, sans pour autant parler de ses propres expériences. C'est un chef, comme toujours, qui donne la parole aux autres.
"Je ne suis pas là pour me faire agresser", dit-il. "Je suis là pour faire ce que je fais, et c'est ça qui est important."
M6 a relancé l'émission culte "Pékin Express" en 2018, après quatre ans d'absence. Stéphane Rotenberg, animateur depuis la première heure, a décidé de reprendre les rênes du jeu d'aventure censé concurrencer "Koh-Lanta". Cette nouvelle saison, tournée exclusivement au Kazakhstan, est inédite en raison des conditions météorologiques extrêmes.
Les candidats sont confrontés à un froid sibérien qui plonge les températures sous -35°C. Mais cela ne fait que l'apprit Stéphane Rotenberg sur le terrain. Les pays qu'il a visités ont parfois été peu accueillants, se montrant très hostiles envers les équipes et les candidats.
"Nous sommes dans des pays où il y a de l'insécurité", explique-t-il. "Quand tu vas dans certains pays en Afrique ou en Amérique latine, nous mettons une sécurité un peu distante". Des gardes du corps avec des gilets pare-balles et flingues sont dépêchés sur place pour assurer une sécurité constante.
Mais la sécurité ne suffit pas à empêcher certains candidats de se faire braquer par les hôtes. Il y a eu des cas où les sacs des candidats ont été volés dans des maisons, notamment en Cuba. Stéphane Rotenberg assure que cela n'a jamais été un gros problème en 21 saisons, mais il reconnaît qu'il est préoccupant.
"On renforce la sécurité dans certains pays", explique-t-il. "Cela fait partie de notre obsession". Il a donné l'exemple d'une situation compliquée en Inde, où une manifestation a bloqué la route et le bus dans lequel étaient les candidats allait être agressé.
Cette expérience mouvementée en Inde est encore retenue par Isabelle Morini-Bosc. Elle se souvient bien de cette expérience et raconte qu'elle a dû pencher pour éviter que le bus bascule dans un ravin.
"C'est du gâteau !" remarque-t-elle, avec une pointe d'humour. Malgré les défis, Stéphane Rotenberg est déterminé à continuer à tourner "Pékin Express". Cette nouvelle saison est prometteuse et sera sans doute l'une des plus interestantes de la série.
Les candidats sont prêts à affronter les dangers pour gagner le titre. Mais il est évident que Stéphane Rotenberg a une approche très seriale face à ces défis. Il a décidé de donner l'exemple, sans pour autant parler de ses propres expériences. C'est un chef, comme toujours, qui donne la parole aux autres.
"Je ne suis pas là pour me faire agresser", dit-il. "Je suis là pour faire ce que je fais, et c'est ça qui est important."