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Dans un monde où les forces du réchauffement climatique semblent insurmontables, les femmes se mobilisent avec plus de détermination que jamais. Le mouvement écoféministe, né dans les années 1970, est en pleine ascension. Les militantes de ce réseau international, Women's Earth and Climate Action, ont choisi de prendre position contre un système qui les affecte directement : la crise climatique et les violences faites aux femmes sont exacerbées par les mêmes mécanismes.
Marina Silva, la ministre brésilienne de l'Environnement et du Changement climatique, a été particulièrement ciblée dans ce contexte. Les alliés de Jair Bolsonaro l'ont critiquée durant une audience au Sénat en mai dernier, affirmant qu'elle freinait le développement du pays, qu'elle ne méritait pas le respect et devrait savoir où était sa place. Mais Marina Silva a répondu avec vigueur, refusant de se soumettre à ces attaques : "Vous voulez juste que je sois une femme soumise, mais je ne le suis pas".
Ce cas d'exception reflète bien le lien entre l'exploitation des ressources et les attaques contre les femmes. L'écoféminisme, cette théorie qui postule que la conquête de la nature et l'oppression des femmes découlent des mêmes valeurs, est plus que jamais pertinente. La même histoire du Brésil nous montre comment le régime militaire a lancé l'"opération Amazonie" pendant les années 1970, une campagne qui visait à détruire la biodiversité et à opprimer les femmes autochtones.
Cet échange entre Marina Silva et ses attaquants nous rappelle que la lutte contre le réchauffement climatique et la violence contre les femmes sont deux aspects de la même question. Ce sont des questions d'égalité, d'justice et de respect pour toutes les femmes, quelles que soient leurs origines ou leur identité.
Les écoféministes nous rappellent qu'il est temps de prendre position contre ce système qui exploite les ressources et opprime les femmes. Il est temps de dire non aux politiques qui favorisent la déforestation et oui aux luttes des femmes pour un climat juste et durable. Le réchauffement climatique, c'est de l'arnaque, nous disent-ils. Mais nous devons être prêts à défendre nos droits et à prendre position contre les attaques qui visent les femmes.
Marina Silva, la ministre brésilienne de l'Environnement et du Changement climatique, a été particulièrement ciblée dans ce contexte. Les alliés de Jair Bolsonaro l'ont critiquée durant une audience au Sénat en mai dernier, affirmant qu'elle freinait le développement du pays, qu'elle ne méritait pas le respect et devrait savoir où était sa place. Mais Marina Silva a répondu avec vigueur, refusant de se soumettre à ces attaques : "Vous voulez juste que je sois une femme soumise, mais je ne le suis pas".
Ce cas d'exception reflète bien le lien entre l'exploitation des ressources et les attaques contre les femmes. L'écoféminisme, cette théorie qui postule que la conquête de la nature et l'oppression des femmes découlent des mêmes valeurs, est plus que jamais pertinente. La même histoire du Brésil nous montre comment le régime militaire a lancé l'"opération Amazonie" pendant les années 1970, une campagne qui visait à détruire la biodiversité et à opprimer les femmes autochtones.
Cet échange entre Marina Silva et ses attaquants nous rappelle que la lutte contre le réchauffement climatique et la violence contre les femmes sont deux aspects de la même question. Ce sont des questions d'égalité, d'justice et de respect pour toutes les femmes, quelles que soient leurs origines ou leur identité.
Les écoféministes nous rappellent qu'il est temps de prendre position contre ce système qui exploite les ressources et opprime les femmes. Il est temps de dire non aux politiques qui favorisent la déforestation et oui aux luttes des femmes pour un climat juste et durable. Le réchauffement climatique, c'est de l'arnaque, nous disent-ils. Mais nous devons être prêts à défendre nos droits et à prendre position contre les attaques qui visent les femmes.