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Des dizaines de milliers de manifestants ont occupé les rues de Valence samedi, un an après la catastrophe climatique qui a dévasté la région et causé la mort de 229 personnes. La foule, qui a déambulé jusqu'au siège du gouvernement régional, portait des pancartes brandies avec des messages tels que « Justice ! » et « Démission ! », dirigés contre le président de la communauté autonome de Valence, Carlos Mazón.
Selon les organisateurs, plus de 50 000 personnes ont participé à la manifestation, mais ce chiffre n'a pas été confirmé par l'administration. Les manifestants portaient des t-shirts avec les visages de leurs proches décédés imprimés dessus, témoignant de leur colère et de leur souffrance.
La catastrophe climatique a eu lieu un an jour pour jour après des pluies torrentielles qui ont provoqué la mort de plus de deux cent vingt-neuf personnes dans la région. Les images avaient provoqué l'effroi, avec des torrents de boue emportant tout sur leur passage et piégeant de nombreux habitants dans des parkings, des magasins, chez eux.
Depuis les inondations, le courroux populaire n'a pas disparu. Les habitants réclament toujours inlassablement des comptes au président régional, Carlos Mazón, qu'ils accusent de ne pas les avoir prévenus suffisamment à l'avance du danger que constituaient ces pluies diluviennes.
« L'alarme a retenti pratiquement au moment où tout le monde se noyait », a dénoncé Rosa Álvarez, la présidente d'une association de victimes de la tragédie. Elle a perdu son père de 80 ans ce jour-là et déplore « la faillite » des autorités.
Le président régional, Carlos Mazón, s'est défendu à plusieurs reprises en assurant que l'ampleur du phénomène climatique n'était pas prévisible et en rejetant la responsabilité de la gestion de la situation sur le gouvernement de gauche. Cependant, ses déplacements sont toujours sujets à controverse, notamment après qu'il ait passé une grande partie de son après-midi à déjeuner avec une journaliste malgré les fortes pluies qui s'abattaient déjà dans la région.
Les médias espagnols ont accusé Carlos Mazón d'être « pas à la hauteur » et de ne pas avoir été là où il aurait dû être le jour des inondations. Le patron du Parti populaire, Alberto Núñez Feijóo, a défendu son responsable régional, affirmant qu'il n'a pas d'autre choix que de rester en fonction, car les élections régionales anticipées pourraient être « catastrophiques » pour le PP.
				
			Selon les organisateurs, plus de 50 000 personnes ont participé à la manifestation, mais ce chiffre n'a pas été confirmé par l'administration. Les manifestants portaient des t-shirts avec les visages de leurs proches décédés imprimés dessus, témoignant de leur colère et de leur souffrance.
La catastrophe climatique a eu lieu un an jour pour jour après des pluies torrentielles qui ont provoqué la mort de plus de deux cent vingt-neuf personnes dans la région. Les images avaient provoqué l'effroi, avec des torrents de boue emportant tout sur leur passage et piégeant de nombreux habitants dans des parkings, des magasins, chez eux.
Depuis les inondations, le courroux populaire n'a pas disparu. Les habitants réclament toujours inlassablement des comptes au président régional, Carlos Mazón, qu'ils accusent de ne pas les avoir prévenus suffisamment à l'avance du danger que constituaient ces pluies diluviennes.
« L'alarme a retenti pratiquement au moment où tout le monde se noyait », a dénoncé Rosa Álvarez, la présidente d'une association de victimes de la tragédie. Elle a perdu son père de 80 ans ce jour-là et déplore « la faillite » des autorités.
Le président régional, Carlos Mazón, s'est défendu à plusieurs reprises en assurant que l'ampleur du phénomène climatique n'était pas prévisible et en rejetant la responsabilité de la gestion de la situation sur le gouvernement de gauche. Cependant, ses déplacements sont toujours sujets à controverse, notamment après qu'il ait passé une grande partie de son après-midi à déjeuner avec une journaliste malgré les fortes pluies qui s'abattaient déjà dans la région.
Les médias espagnols ont accusé Carlos Mazón d'être « pas à la hauteur » et de ne pas avoir été là où il aurait dû être le jour des inondations. Le patron du Parti populaire, Alberto Núñez Feijóo, a défendu son responsable régional, affirmant qu'il n'a pas d'autre choix que de rester en fonction, car les élections régionales anticipées pourraient être « catastrophiques » pour le PP.
 
				 C'est vraiment tragique ce qui se passe à Valence, depuis l'anniversaire de la catastrophe climatique, il y a toujours une atmosphère de colère et de protestation dans les rues
C'est vraiment tragique ce qui se passe à Valence, depuis l'anniversaire de la catastrophe climatique, il y a toujours une atmosphère de colère et de protestation dans les rues  . Les gens sont vraiment déçus par le fait que les autorités n'aient pas pu prévenir cette tragédie et qu'il y ait des responsabilités à prendre
. Les gens sont vraiment déçus par le fait que les autorités n'aient pas pu prévenir cette tragédie et qu'il y ait des responsabilités à prendre  . Le président régional, Carlos Mazón, a toujours une bonne excuse pour tout, mais ça ne dépasse pas la peine de voir qu'il soit là, alors même dans ce temps climatique
. Le président régional, Carlos Mazón, a toujours une bonne excuse pour tout, mais ça ne dépasse pas la peine de voir qu'il soit là, alors même dans ce temps climatique  . Et le fait qu'il se déplace comme si rien n'était, en plein milieu d'une crise qui touche encore les familles, c'est vraiment incroyable
. Et le fait qu'il se déplace comme si rien n'était, en plein milieu d'une crise qui touche encore les familles, c'est vraiment incroyable  . Cela me donne envie de dire que la justice et l'attention nécessaires sont là, il faut juste les faire entendre
. Cela me donne envie de dire que la justice et l'attention nécessaires sont là, il faut juste les faire entendre  !
 ! . Carlos Mazón devrait être plus présent et disponible pour répondre aux questions de la population, surtout après tout ce qui s'est passé l'an dernier
. Carlos Mazón devrait être plus présent et disponible pour répondre aux questions de la population, surtout après tout ce qui s'est passé l'an dernier  .
. ! C'est vraiment incroyable ce qui se passe à Valence depuis une année ! 50 000 manifestants, c'est beaucoup ! Les pancartes avec des visages de proches décédés, c'est trop, ça fait mal au cœur
 ! C'est vraiment incroyable ce qui se passe à Valence depuis une année ! 50 000 manifestants, c'est beaucoup ! Les pancartes avec des visages de proches décédés, c'est trop, ça fait mal au cœur  . Et le président régional, Carlos Mazón, il est vraiment sous les feux ! Qui peut se justifier une telle catastrophe climatique ? Les autorités, elles ne sont pas toujours là où il faut être
. Et le président régional, Carlos Mazón, il est vraiment sous les feux ! Qui peut se justifier une telle catastrophe climatique ? Les autorités, elles ne sont pas toujours là où il faut être  .
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 Il a tout le temps passé à se promener dans la région et à prendre son temps pour s'éloigner de la zone d'effondrement climatique, alors comment aurait-il pu être au point où il devait être ? Et qu'est-ce qu'il fait maintenant : il déjeune avec une journaliste ! Cela me fait penser à des gens qui se moquent du malheur des autres et qui se contentent de prendre des photos pour les publier sur leurs réseaux sociaux. Le président régional devrait plutôt aller au cimetière où sont enterrés ses proches décédés et y méditer un peu avant de parler dans le public !
 Il a tout le temps passé à se promener dans la région et à prendre son temps pour s'éloigner de la zone d'effondrement climatique, alors comment aurait-il pu être au point où il devait être ? Et qu'est-ce qu'il fait maintenant : il déjeune avec une journaliste ! Cela me fait penser à des gens qui se moquent du malheur des autres et qui se contentent de prendre des photos pour les publier sur leurs réseaux sociaux. Le président régional devrait plutôt aller au cimetière où sont enterrés ses proches décédés et y méditer un peu avant de parler dans le public !
 . Je suis heureux qu'il y ait encore des gens qui veulent faire entendre leur voix et prendre des mesures pour prévenir ces catastrophes. Nous devons continuer à discuter et à travailler ensemble pour éviter que ces choses se reproduisent.
. Je suis heureux qu'il y ait encore des gens qui veulent faire entendre leur voix et prendre des mesures pour prévenir ces catastrophes. Nous devons continuer à discuter et à travailler ensemble pour éviter que ces choses se reproduisent. 
