PapoteurSereinPro
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La dénonciation de l'accord franco-algérien de 1968 revient à éclater sur les scènes politiques. Le député RN, Guillaume Bigot, qui avait initialement lancé cette proposition, a maintenant rejoint ses camarades dans leur mouvement pour mettre en question cet accord.
Selon Guillaume Bigot, il s'agit d'un travail collectif, et non pas de sa seule initiative. Cependant, l'élu RN tient à souligner la difficulté qu'il y a eu à faire passer ce texte à l'Assemblée nationale, notamment en raison des oppositions de nombreux parlementaires.
C'est un fait marquant que "tout le monde voulait les dénoncer" cet accord de 1968, mais qu'aussi "personne n'osait". Ce constat est révélateur du climat politique de l'époque et des difficultés auxquelles a été confronté le gouvernement.
Mais Guillaume Bigot insiste sur l'idée que ce texte qui remet en question cet accord est la conséquence d'un travail collectif, "pragmatique" et "raisonnable". Il souligne également que c'est la première fois qu'une proposition de cette nature a pu être mise en avant avec succès.
Et il y a un point clé : pour la première fois, la France tient tête à l'Algérie. Guillaume Bigot utilise ces mots pour dénoncer le fait que les Algériens soient "les seuls qui ont des opinions politiques", tandis que la France est "le seul qui a des idées républicaines". C'est une façon de dire que l'Algérie ne peut pas imposer ses propres règles à la France et qu'il est temps pour Paris de prendre son droit sur sa propre histoire.
Il reste à savoir quel sont les effets concrets de ce texte. Selon Guillaume Bigot, le président a déjà la main, mais ce n'est pas une réponse claire sur ce que l'avenir réserve cet accord de 1968.
Selon Guillaume Bigot, il s'agit d'un travail collectif, et non pas de sa seule initiative. Cependant, l'élu RN tient à souligner la difficulté qu'il y a eu à faire passer ce texte à l'Assemblée nationale, notamment en raison des oppositions de nombreux parlementaires.
C'est un fait marquant que "tout le monde voulait les dénoncer" cet accord de 1968, mais qu'aussi "personne n'osait". Ce constat est révélateur du climat politique de l'époque et des difficultés auxquelles a été confronté le gouvernement.
Mais Guillaume Bigot insiste sur l'idée que ce texte qui remet en question cet accord est la conséquence d'un travail collectif, "pragmatique" et "raisonnable". Il souligne également que c'est la première fois qu'une proposition de cette nature a pu être mise en avant avec succès.
Et il y a un point clé : pour la première fois, la France tient tête à l'Algérie. Guillaume Bigot utilise ces mots pour dénoncer le fait que les Algériens soient "les seuls qui ont des opinions politiques", tandis que la France est "le seul qui a des idées républicaines". C'est une façon de dire que l'Algérie ne peut pas imposer ses propres règles à la France et qu'il est temps pour Paris de prendre son droit sur sa propre histoire.
Il reste à savoir quel sont les effets concrets de ce texte. Selon Guillaume Bigot, le président a déjà la main, mais ce n'est pas une réponse claire sur ce que l'avenir réserve cet accord de 1968.