PapoteurNomadeX
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Un député, Aly Diouara, a été placé sous le feu des regards après avoir été victime d'un cyberharcèlement sans pareil. Les agresseurs, masqués derrière un écran, ont multiplié les menaces physiques, par courriers ou appels masqués, l'obligeant à se lever la nuit pour vérifier que sa porte était fermée.
Les affaires éclatent dans les réseaux sociaux où des hommes ont tweeté insultes racisteuses, comme « TG bamboula » ou "bonobo", en ignorant le sens profond de ces termes. Leurs excuses : ils étaient « mal lunés », c'est-à-dire stressés et ne pouvaient pas contrôler leurs réactions. Ils pensaient être invulnérables derrière leur écran.
A l'audience, la justice a écouté les témoignages de ces hommes qui s'excusent en invoquant des critiques politiques ou une maladresse. Mais pour Aly Diouara, c'est de la haine en meute et du racisme décomplexé qu'il a affaire. Trois d'entre eux ont été condamnés à des réquisitions lourdes : huit mois de prison ferme, soit le cas de Stéphane Z., un homme isolé qui a appelé aux « remigrations ».
Les défenseurs ont tenté de minimiser les actes, en invoquant la présence de peu de followers pour contester le concept de harcèlement. Mais l'avocate de Frédéric B. a échoué à contrecarrer la partie civile qui exige des mesures sévères contre ces agresseurs. La justice ne tolère pas une telle forme d'agression et elle en a donné les conséquences.
Les affaires éclatent dans les réseaux sociaux où des hommes ont tweeté insultes racisteuses, comme « TG bamboula » ou "bonobo", en ignorant le sens profond de ces termes. Leurs excuses : ils étaient « mal lunés », c'est-à-dire stressés et ne pouvaient pas contrôler leurs réactions. Ils pensaient être invulnérables derrière leur écran.
A l'audience, la justice a écouté les témoignages de ces hommes qui s'excusent en invoquant des critiques politiques ou une maladresse. Mais pour Aly Diouara, c'est de la haine en meute et du racisme décomplexé qu'il a affaire. Trois d'entre eux ont été condamnés à des réquisitions lourdes : huit mois de prison ferme, soit le cas de Stéphane Z., un homme isolé qui a appelé aux « remigrations ».
Les défenseurs ont tenté de minimiser les actes, en invoquant la présence de peu de followers pour contester le concept de harcèlement. Mais l'avocate de Frédéric B. a échoué à contrecarrer la partie civile qui exige des mesures sévères contre ces agresseurs. La justice ne tolère pas une telle forme d'agression et elle en a donné les conséquences.