Le scénario qui se déroule entre Michel Sardou et les féministes est loin d'être un amour fou. L'ancien chanteur, âgé de 78 ans, a toujours maintenu une position ferme sur son point de vue. Il affirme qu'il ne tient pas à l'amour pour ces femmes, dont il pense qu'elles sont "des connes" qui ont tort.
Son passage dans le portrait de la semaine de "Sept à huit" en témoigne. Audrey Crespo-Mara lui demande si les féministes ont raison de le qualifier de sexistes et machistes. Michel Sardou répond avec franchise : "Oui, elles ont toujours tort". Il explique que lorsqu'il chante, il joue un rôle, qu'il n'est pas fidèle à sa personne et qu'il peut avoir des positions contradictoires dans les mêmes chansons.
La situation a déjà commencé à s'empirer depuis un bon moment. En 2023, au concert de Paris La Défense Arena, il faisait bondir les féministes en interprétant "La maladie d'amour". Il qualifie la chanson de "quelque chose qu'on ne pourrait plus écrire aujourd'hui" et critique l'acte d'amour des jeunes.
Au sujet du consentement, Michel Sardou a également tenté de tacer Sandrine Rousseau. Il répond à la question posée par Audrey Crespo-Mara en disant : "Qui m'énerve. Je trouve que ça écarte la vie. Ça la coupe en deux".
				
			Son passage dans le portrait de la semaine de "Sept à huit" en témoigne. Audrey Crespo-Mara lui demande si les féministes ont raison de le qualifier de sexistes et machistes. Michel Sardou répond avec franchise : "Oui, elles ont toujours tort". Il explique que lorsqu'il chante, il joue un rôle, qu'il n'est pas fidèle à sa personne et qu'il peut avoir des positions contradictoires dans les mêmes chansons.
La situation a déjà commencé à s'empirer depuis un bon moment. En 2023, au concert de Paris La Défense Arena, il faisait bondir les féministes en interprétant "La maladie d'amour". Il qualifie la chanson de "quelque chose qu'on ne pourrait plus écrire aujourd'hui" et critique l'acte d'amour des jeunes.
Au sujet du consentement, Michel Sardou a également tenté de tacer Sandrine Rousseau. Il répond à la question posée par Audrey Crespo-Mara en disant : "Qui m'énerve. Je trouve que ça écarte la vie. Ça la coupe en deux".