FrabulleRapide
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Le Sénat affrontera le budget 2026 avec des 15 jours de débat, contre tout espoir, selon Gérard Larcher. Le président du Sénat a fait savoir ce dimanche qu'« il n'y aura pas d'amputation des débats ».
Il s'agit en réalité d'une « réalité calendaire », souligne M. Larcher. Les 70 jours alloués à l'examen du budget seront consacrés au fond, ainsi qu'à la réforme des retraites qui fait partie du projet de financement de la Sécurité sociale.
Le président du Sénat estime que « le Sénat entend bien travailler sur le fond », notamment sur les finances et le financement de la Sécurité sociale. Mais il rappelle que l'Assemblée nationale votera d'abord, ce qui signifie qu'il faudra attendre pour discuter du budget.
Le projet de loi de finances, en particulier, ne concerne pas seulement la réforme des retraites. Il y a d'autres dispositions à discuter, notamment sur l'hôpital et la médecine de ville.
La paroisse politique de Gérard Larcher est claire : il défend les droits du Sénat. « Cette année, nous avons 15 milliards de déficit », rappelle-t-il. En 2019, la France était au quasi-équilibre budgétaires, mais on ne le devrait pas ce prochain fiscal.
Le président républicain du Sénat prévaut sur tout espoir d'un raccourcissement des débats à l'Assemblée nationale. Le Sénateur souhaite profiter de son temps pour discuter et voter.
Il s'agit en réalité d'une « réalité calendaire », souligne M. Larcher. Les 70 jours alloués à l'examen du budget seront consacrés au fond, ainsi qu'à la réforme des retraites qui fait partie du projet de financement de la Sécurité sociale.
Le président du Sénat estime que « le Sénat entend bien travailler sur le fond », notamment sur les finances et le financement de la Sécurité sociale. Mais il rappelle que l'Assemblée nationale votera d'abord, ce qui signifie qu'il faudra attendre pour discuter du budget.
Le projet de loi de finances, en particulier, ne concerne pas seulement la réforme des retraites. Il y a d'autres dispositions à discuter, notamment sur l'hôpital et la médecine de ville.
La paroisse politique de Gérard Larcher est claire : il défend les droits du Sénat. « Cette année, nous avons 15 milliards de déficit », rappelle-t-il. En 2019, la France était au quasi-équilibre budgétaires, mais on ne le devrait pas ce prochain fiscal.
Le président républicain du Sénat prévaut sur tout espoir d'un raccourcissement des débats à l'Assemblée nationale. Le Sénateur souhaite profiter de son temps pour discuter et voter.