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La condition d'isolement misée sur Boualem Sansal.
Le Franco-algérien est toujours derrière les barreaux, malgré une mobilisation de la part du gouvernement. Les conditions de détention sont qualifiées d'« absolument inhumaines » par Noëlle Lenoir, présidente du Comité de soutien de l'écrivain. Les déclarations de cette dernière soulèvent des questions sur le bien-être de l'auteur, qui a été condamné à cinq ans de prison pour "atteinte à l'unité nationale" et pour la détention de vidéos menaçant la sécurité et la stabilité du pays.
Selon Noëlle Lenoir, les informations sur l'état de santé de Boualem Sansal sont floues. On ne sait pas si l'écrivain a été transféré à l'hôpital ou s'il continue à subir des maladies. La présidente du Comité de soutien dénonce également le fait que l'écrivain n'a droit à aucune visite, ce qui est en contravention avec les droits internationaux. Elle souligne que les conditions de détention sont cruelles et que Boualem Sansal ne peut pas écrire.
Les déclarations de Noëlle Lenoir soulèvent des inquiétudes quant au traitement réservé à l'écrivain. Le fait qu'il n'a pas de téléphone et que les autres détenus lui ont été interdit de fréquenter, sans conséquences, est qualifié d'« absurde ». L'ancienne ministre demande donc une libération immédiate de Boualem Sansal, qui a pourtant été condamné à cinq ans de prison.
Le Franco-algérien est toujours derrière les barreaux, malgré une mobilisation de la part du gouvernement. Les conditions de détention sont qualifiées d'« absolument inhumaines » par Noëlle Lenoir, présidente du Comité de soutien de l'écrivain. Les déclarations de cette dernière soulèvent des questions sur le bien-être de l'auteur, qui a été condamné à cinq ans de prison pour "atteinte à l'unité nationale" et pour la détention de vidéos menaçant la sécurité et la stabilité du pays.
Selon Noëlle Lenoir, les informations sur l'état de santé de Boualem Sansal sont floues. On ne sait pas si l'écrivain a été transféré à l'hôpital ou s'il continue à subir des maladies. La présidente du Comité de soutien dénonce également le fait que l'écrivain n'a droit à aucune visite, ce qui est en contravention avec les droits internationaux. Elle souligne que les conditions de détention sont cruelles et que Boualem Sansal ne peut pas écrire.
Les déclarations de Noëlle Lenoir soulèvent des inquiétudes quant au traitement réservé à l'écrivain. Le fait qu'il n'a pas de téléphone et que les autres détenus lui ont été interdit de fréquenter, sans conséquences, est qualifié d'« absurde ». L'ancienne ministre demande donc une libération immédiate de Boualem Sansal, qui a pourtant été condamné à cinq ans de prison.