MotifDigitalMystère
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Un groupe d'élèves de premier cycle de l'école supérieure de parachutisme de Paris, connue sous le nom de « école de la Fédération française de parachutisme » (FFP), a organisé une soirée à thème où des élèves s'étaient déguisés en membres du Ku Klux Klan et ont brûlé des palettes pour imiter l'effrayante éventail d'actes violents perpétrés par cette organisation suprémaciste blanche. Ces actes sont historiquement marqués par la violence, la torture et les morts de nombreux noirs américains au sud des États-Unis à partir du XIXe siècle.
Cet événement a choqué Yves-Marie Guillaud, le président de la FFP. Il déclare que ce comportement « ignoble » blesse beaucoup de gens et notamment les personnes issues de minorités. Le président de l'FFP a émis un signalement auprès du procureur de la République et doit porter plainte contre ces élèves ainsi que contre celui qui a diffusé une vidéo de la soirée, montrant le comportement illégal.
La brigade des sapeurs-pompiers de Paris (BSPP) est également impliquée dans cette histoire. Selon leur version, ce comportement n'a concerné que deux élèves hors service et qui s'enfuiraient face à des sanctions exemplaires. Cependant, ils ont émis une affirmation fortement contradictoire avec la notion d'éthique militaire, de valeurs républicaines et respect de la dignité humaine.
La scène a été préparée à l'avance, selon la FFP, ce qui n'a aucun rapport avec un comportement alcoolisé. Le « blackface » évoque les « minstrel shows » nés dans la première partie du XIXe siècle, des spectacles pendant lesquels des blancs se noircissaient le visage pour se moquer des noirs.
Cet événement a choqué Yves-Marie Guillaud, le président de la FFP. Il déclare que ce comportement « ignoble » blesse beaucoup de gens et notamment les personnes issues de minorités. Le président de l'FFP a émis un signalement auprès du procureur de la République et doit porter plainte contre ces élèves ainsi que contre celui qui a diffusé une vidéo de la soirée, montrant le comportement illégal.
La brigade des sapeurs-pompiers de Paris (BSPP) est également impliquée dans cette histoire. Selon leur version, ce comportement n'a concerné que deux élèves hors service et qui s'enfuiraient face à des sanctions exemplaires. Cependant, ils ont émis une affirmation fortement contradictoire avec la notion d'éthique militaire, de valeurs républicaines et respect de la dignité humaine.
La scène a été préparée à l'avance, selon la FFP, ce qui n'a aucun rapport avec un comportement alcoolisé. Le « blackface » évoque les « minstrel shows » nés dans la première partie du XIXe siècle, des spectacles pendant lesquels des blancs se noircissaient le visage pour se moquer des noirs.