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L'éditeur de "Taz", un quotidien allemand de gauche qui a arrêté de paraître en papier depuis octobre, a rédigué un dernier hommage au journal imprimé. Le dernier numéro imprimé du quotidien devait voir le jour ce mercredi 29 octobre à Berlin.
Désormais, les lecteurs doivent s'abonner à la version électronique pour accéder à cet organisme de presse qui a été un symbole de la vie intellectuelle et politique allemande. "On ne peut plus vendre le quotidien", avait expliqué la vendeuse du kiosque. Il n'y a plus de place pour les journaux imprimés dans la ville.
Peter Unfried, rédacteur en chef de "Taz", est un ancien journaliste sportif qui écrit encore sur le sujet. Dans son dernier article, il raconte son souvenir du match Allemagne-URSS du 28 mars 1991, lors duquel l'équipe soviétique a disputé son dernier match avant la chute de l'Union soviétique.
"Le quotidien imprimé était un symbole de notre passé", explique-t-il. "Nous étions dans une époque où le journalisme et les médias étaient encore libres, où nous pouvions nous exprimer librement". Mais aujourd'hui, il est difficile pour le petit journal de survivre dans une économie numérique qui lui demande de se démultiplier et d'offrir sa version électronique.
				
			Désormais, les lecteurs doivent s'abonner à la version électronique pour accéder à cet organisme de presse qui a été un symbole de la vie intellectuelle et politique allemande. "On ne peut plus vendre le quotidien", avait expliqué la vendeuse du kiosque. Il n'y a plus de place pour les journaux imprimés dans la ville.
Peter Unfried, rédacteur en chef de "Taz", est un ancien journaliste sportif qui écrit encore sur le sujet. Dans son dernier article, il raconte son souvenir du match Allemagne-URSS du 28 mars 1991, lors duquel l'équipe soviétique a disputé son dernier match avant la chute de l'Union soviétique.
"Le quotidien imprimé était un symbole de notre passé", explique-t-il. "Nous étions dans une époque où le journalisme et les médias étaient encore libres, où nous pouvions nous exprimer librement". Mais aujourd'hui, il est difficile pour le petit journal de survivre dans une économie numérique qui lui demande de se démultiplier et d'offrir sa version électronique.
 
				 ... ouais, je préfère les avoir sous la main ! Mais je sais qu'on doit s'adapter à l'époque numérique. Le Taz a toujours été intéressant, notamment avec ses articles sur le sport et la politique. Je vais devoir me renseigner en ligne pour rester au courant de ce qui se passe. Et c'est émouvant que Peter Unfried ait écrit son article sur cette partie du match Allemagne-URSS... c'était une histoire mémorable !
... ouais, je préfère les avoir sous la main ! Mais je sais qu'on doit s'adapter à l'époque numérique. Le Taz a toujours été intéressant, notamment avec ses articles sur le sport et la politique. Je vais devoir me renseigner en ligne pour rester au courant de ce qui se passe. Et c'est émouvant que Peter Unfried ait écrit son article sur cette partie du match Allemagne-URSS... c'était une histoire mémorable ! . Mais je suppose que l'économie numérique, c'est la raison pour laquelle ça a pris cette décision... et maintenant les lecteurs doivent s'abonner à la version électronique, c'est complètement absurde
. Mais je suppose que l'économie numérique, c'est la raison pour laquelle ça a pris cette décision... et maintenant les lecteurs doivent s'abonner à la version électronique, c'est complètement absurde  .
. . Je pense que c'est un regrettable symbole de notre société actuelle où on privilégie les économies et la rentabilité avant tout. Les journaux imprimés, même si leur public est en train de disparaître, sont un témoignage de l'importance du journalisme libéral et des discussions mémorables qui se déroulaient autour d'un verre dans les redactions
. Je pense que c'est un regrettable symbole de notre société actuelle où on privilégie les économies et la rentabilité avant tout. Les journaux imprimés, même si leur public est en train de disparaître, sont un témoignage de l'importance du journalisme libéral et des discussions mémorables qui se déroulaient autour d'un verre dans les redactions  . Il est dommage que la version électronique devienne la seule forme accessible pour "Taz"
. Il est dommage que la version électronique devienne la seule forme accessible pour "Taz"  , parce que cela signifie que nous en perdons un peu de notre patrimoine culturel et de nos récits historiques qui sont essentiels pour comprendre notre présent
, parce que cela signifie que nous en perdons un peu de notre patrimoine culturel et de nos récits historiques qui sont essentiels pour comprendre notre présent  .
. . L'idée que nous devons nous abonner à la version électronique pour lire un journal est déjà une touche de compromis, mais puisque les journaux imprimés ont disparu dans la ville, ça devient quasi obligatoire
. L'idée que nous devons nous abonner à la version électronique pour lire un journal est déjà une touche de compromis, mais puisque les journaux imprimés ont disparu dans la ville, ça devient quasi obligatoire  . Et il faut dire que "Taz" a été un symbole de la vie intellectuelle et politique allemande, c'est vraiment regrettable que ça ne soit plus possible dans notre époque numérique. Peter Unfried a raison quand il dit que le quotidien imprimé était un symbole de leur passé, nous avons perdu une partie de notre éthique journalistique avec cette transition
. Et il faut dire que "Taz" a été un symbole de la vie intellectuelle et politique allemande, c'est vraiment regrettable que ça ne soit plus possible dans notre époque numérique. Peter Unfried a raison quand il dit que le quotidien imprimé était un symbole de leur passé, nous avons perdu une partie de notre éthique journalistique avec cette transition 

 ️. Mais j'espère que "Taz" survivra dans son nouveau formage et continue de faire entendre sa voix dans les débats politiques allemands
️. Mais j'espère que "Taz" survivra dans son nouveau formage et continue de faire entendre sa voix dans les débats politiques allemands  .
. Je me souviens encore d'avoir lu "Taz" avec mon père quand j'étais enfant, il était toujours prêt à discuter des actualités du jour avec moi. Maintenant, c'est l'édition électronique qui domine et je crains que nous perdions cette relation plus personnelle avec la lecture.
 Je me souviens encore d'avoir lu "Taz" avec mon père quand j'étais enfant, il était toujours prêt à discuter des actualités du jour avec moi. Maintenant, c'est l'édition électronique qui domine et je crains que nous perdions cette relation plus personnelle avec la lecture. C'est comme ça que je vois l'éditeur de "Taz", maintenant qu'il a disparu des kiosques, mais son héritage va bien sûr continuer à vivre dans notre esprit et notre cœur.
 C'est comme ça que je vois l'éditeur de "Taz", maintenant qu'il a disparu des kiosques, mais son héritage va bien sûr continuer à vivre dans notre esprit et notre cœur.