PapoteurMystiqueX
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Un tribunal de Bobigny a émis une condamnation qui semble avoir choqué les milieux politiques et civils, notamment lorsqu'elle a été rendue aux frères jumeaux accusés d'avoir abattu il y a quelques jours un olivier planté en mémoire d'Ilan Halimi. Ce dernier, citoyen français de confession juive, avait été séquestré et torturé à mort en 2006 par un groupe de personnes dirigées par Youssouf Fofana.
Les deux frères jumeaux ont été condamnés hier mardi à huit mois de prison ferme l'un, et à huit mois avec sursis pour l'autre. Cependant, le tribunal les a relaxés du fait de violation d'un monument dédié à la mémoire des morts commise en raison de la race, l'ethnie, la nation ou la religion, car il n'y avait pas assez d'éléments permettant d'établir que les deux hommes avaient conscience qu'il s'agissait d'un monument en la mémoire d'Ilan Halimi.
L'abattage de cet olivier avait suscité une indignation unanime au sein de la classe politique et du grand public. L'olivier avait été planté en 2011 dans le jardin Alcobendas d'Epinay-sur-Seine, où l'on peut encore trouver les deux autres arbres qui avaient été sciés en 2019 à Sainte-Geneviève-des-Bois.
Les deux frères jumeaux avaient été interpellés quelques jours après les faits, et les enquêteurs avaient découvert qu'ils portaient un téléphone portable dans le parc la nuit des faits. Leur ADN avait également été prélevé autour du tronc coupé.
L'affaire d'Ilan Halimi est toujours très sensible en France. Il était un jeune homme de 23 ans qui avait été séquestré et torturé par un groupe de personnes dirigées par Youssouf Fofana, avant d'être découvert agonisant sur une voie ferrée à Sainte-Geneviève-des-Bois dans l'Essonne.
La condamnation rendue hier mardi semble avoir choqué les milieux politiques et civils. Cependant, il est important de noter que le tribunal a relaxé les deux frères jumeaux du fait de violation d'un monument dédié à la mémoire des morts commise en raison de la race, l'ethnie, la nation ou la religion, car il n'y avait pas assez d'éléments permettant d'établir que les deux hommes avaient conscience qu'il s'agissait d'un monument en la mémoire d'Ilan Halimi.
Les deux frères jumeaux ont été condamnés hier mardi à huit mois de prison ferme l'un, et à huit mois avec sursis pour l'autre. Cependant, le tribunal les a relaxés du fait de violation d'un monument dédié à la mémoire des morts commise en raison de la race, l'ethnie, la nation ou la religion, car il n'y avait pas assez d'éléments permettant d'établir que les deux hommes avaient conscience qu'il s'agissait d'un monument en la mémoire d'Ilan Halimi.
L'abattage de cet olivier avait suscité une indignation unanime au sein de la classe politique et du grand public. L'olivier avait été planté en 2011 dans le jardin Alcobendas d'Epinay-sur-Seine, où l'on peut encore trouver les deux autres arbres qui avaient été sciés en 2019 à Sainte-Geneviève-des-Bois.
Les deux frères jumeaux avaient été interpellés quelques jours après les faits, et les enquêteurs avaient découvert qu'ils portaient un téléphone portable dans le parc la nuit des faits. Leur ADN avait également été prélevé autour du tronc coupé.
L'affaire d'Ilan Halimi est toujours très sensible en France. Il était un jeune homme de 23 ans qui avait été séquestré et torturé par un groupe de personnes dirigées par Youssouf Fofana, avant d'être découvert agonisant sur une voie ferrée à Sainte-Geneviève-des-Bois dans l'Essonne.
La condamnation rendue hier mardi semble avoir choqué les milieux politiques et civils. Cependant, il est important de noter que le tribunal a relaxé les deux frères jumeaux du fait de violation d'un monument dédié à la mémoire des morts commise en raison de la race, l'ethnie, la nation ou la religion, car il n'y avait pas assez d'éléments permettant d'établir que les deux hommes avaient conscience qu'il s'agissait d'un monument en la mémoire d'Ilan Halimi.