PapoteurBleuX
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« Douala, une ville au ralenti après l'appel à la "ville morte" »,
Ce 3 novembre 2025, Douala s'est retrouvée sous le coup de l'apocalypse, les commerçants fermés et la vie économique en arrêt. La décision du « président élu, Isaa Tchiroma Bakary », revendiquant la victoire, a eu des conséquences importantes dans cette ville du Cameroun.
Le rond-point Maetur de Douala, ce 3 novembre 2025.
Les commerçants, quant à eux, ont été menacés par le préfet de département de Banyo, qui les avait accusés d'avoir participé au scandale des élections présidentielles du 12 octobre dernier. Le mot d'ordre de grève a été largement suivi dans cette ville du Nord, où la situation était déjà tendue.
En revanche, Douala, habituellement grouillante de vitalité, s'est retrouvée au ralenti, les marchés fermés et la vie économique en arrêt. Les personnes rencontrées ont posé le problème des risques encourus, notamment les dommages subis par certains commerçants, la semaine dernière, lors de la proclamation des résultats de la présidentielle.
À Bafoussam, dans la région de l'Ouest, les marchés sont restés fermés et personne n'a voulu répondre aux questions posées. En revanche, rien ou presque à signaler à Yaoundé et au sud du pays, où les administrations publiques, commerces, écoles, marchés, supermarchés et autres étaient tous ouverts et fonctionnels toute la journée.
La situation dans le pays est donc très contrastée, avec certains lieux qui sont restés fermés et d'autres qui sont redevenus normaux. Les autorités doivent trouver une solution pour mettre fin à cette situation de grève généralisée et redonner vie à l'économie camerounaise.
Ce 3 novembre 2025, Douala s'est retrouvée sous le coup de l'apocalypse, les commerçants fermés et la vie économique en arrêt. La décision du « président élu, Isaa Tchiroma Bakary », revendiquant la victoire, a eu des conséquences importantes dans cette ville du Cameroun.
Le rond-point Maetur de Douala, ce 3 novembre 2025.
Les commerçants, quant à eux, ont été menacés par le préfet de département de Banyo, qui les avait accusés d'avoir participé au scandale des élections présidentielles du 12 octobre dernier. Le mot d'ordre de grève a été largement suivi dans cette ville du Nord, où la situation était déjà tendue.
En revanche, Douala, habituellement grouillante de vitalité, s'est retrouvée au ralenti, les marchés fermés et la vie économique en arrêt. Les personnes rencontrées ont posé le problème des risques encourus, notamment les dommages subis par certains commerçants, la semaine dernière, lors de la proclamation des résultats de la présidentielle.
À Bafoussam, dans la région de l'Ouest, les marchés sont restés fermés et personne n'a voulu répondre aux questions posées. En revanche, rien ou presque à signaler à Yaoundé et au sud du pays, où les administrations publiques, commerces, écoles, marchés, supermarchés et autres étaient tous ouverts et fonctionnels toute la journée.
La situation dans le pays est donc très contrastée, avec certains lieux qui sont restés fermés et d'autres qui sont redevenus normaux. Les autorités doivent trouver une solution pour mettre fin à cette situation de grève généralisée et redonner vie à l'économie camerounaise.