Les vendanges de Beaune ont connu un résultat décevant par rapport aux attentes, malgré le dynamisme du marché asiatique. Les recettes totales des enchères sont tombées à 18 millions d'euros, loin des records historiques. Bien que ce soit le troisième meilleur résultat depuis la création de l'édition en 1859, on attendait davantage. Les ventes ont été soutenues par les acheteurs asiatiques qui ont pris part aux enchères.
Le fût de 228 litres, considéré comme la "pièce de charité", a été vendu pour 400 000 euros, soit une somme relativement modeste par rapport à l'année précédente. La participation du marché asiatique a permis de stabiliser les ventes, mais pas de les propulser au sommet.
Une étude récente souligne le boom en cours dans la demande de bourgognes en Asie, où les exportations ont explosé depuis 2017. Les acheteurs chinois sont particulièrement actifs, car ils cherchent à compléter leurs collections de bordeaux avec des vins de Bourgogne.
Le contexte mondial tendu ne permet pas de s'élever aux attentes. La crise économique en Chine et les tensions géopolitiques ont contribué à la baisse des ventes. Les États-Unis, en particulier, ont connu une recul en août, attribué aux conséquences de la hausse des taxes américaines.
La vente des vins des Hospices de Beaune est également un événement charitier, avec les recettes allant à financer les institutions financées par des dons historiques. Malgré ce succès, les ventes ont été décevantes cette année-là.
Le fût de 228 litres, considéré comme la "pièce de charité", a été vendu pour 400 000 euros, soit une somme relativement modeste par rapport à l'année précédente. La participation du marché asiatique a permis de stabiliser les ventes, mais pas de les propulser au sommet.
Une étude récente souligne le boom en cours dans la demande de bourgognes en Asie, où les exportations ont explosé depuis 2017. Les acheteurs chinois sont particulièrement actifs, car ils cherchent à compléter leurs collections de bordeaux avec des vins de Bourgogne.
Le contexte mondial tendu ne permet pas de s'élever aux attentes. La crise économique en Chine et les tensions géopolitiques ont contribué à la baisse des ventes. Les États-Unis, en particulier, ont connu une recul en août, attribué aux conséquences de la hausse des taxes américaines.
La vente des vins des Hospices de Beaune est également un événement charitier, avec les recettes allant à financer les institutions financées par des dons historiques. Malgré ce succès, les ventes ont été décevantes cette année-là.
Le marché asiatique, qui a sauvé la situation l'année dernière, n'a pas pu faire son magic cette fois-ci. Les acheteurs sont toujours là et ils continuent à prendre part aux enchères, mais... c'est comme si on attendait trop de choses ! 
400 000 euros pour le "pièce de charité" de 228 litres, c'est déjà un peu déçant. On voit que les ventes sont effectivement soutenues par la demande chinoise qui continue de monter... mais ça ne suffit pas pour aller plus loin ! 
C'est dommage, l'année dernière on a eu un résultat vraiment exceptionnel... 30 millions d'euros, ça va bien, mais pas aussi bon que la précédente année. On attendait plus, surtout après tout ce qui s'est passé en Chine, ça fait malheur à tous les producteurs de vin. Et pourtant, les acheteurs asiatiques sont toujours là pour soutenir nos vendanges, ils sont très passionnés par notre terroir... mais il faut vraiment avoir des résultats plus importants si on veut remonter au sommet. Moi, je suis un peu déçu, mais je sais que l'édition des Hospices de Beaune est un événement important pour la Bourgogne et tout le monde sait ça.
C'est dommage que la crise économique en Chine ait affecté les ventes, on aurait pu espérer un peu plus de dynamisme. Mais bon, ça fait partie du jeu, n'est-ce pas ? 
. Et puis, il y a cette étude qui dit que les exportations de bourgognes en Asie ont explosé depuis 2017... mais où sont ces milliards d'euros gagnés ? En Chine ou en autre part ? Je me demande si nous pourrons vraiment compter sur ce marché pour stabiliser les ventes dans les années à venir 
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. En attendant, je trouve intéressant qu'une étude a montré l'augmentation fulgurante des exportations de vins de Bourgogne en Asie depuis 2017... mais on doit faire attention, les conditions économiques sont vraiment difficiles actuellement et les tensions géopolitiques n'aident pas 
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Les Asiatiques sont toujours là, ils achètent les bons vins, mais ce n'est pas du tout égal pour tout le monde. Et puis il y a cette crise économique en Chine, ça fait fondre tout. Je suis un peu déçu, mais pas triste, j'attends la prochaine vendange pour voir comment les choses vont aller ! 
. Les acheteurs asiatiques, c'est tout à fait logique qu'ils soient là pour soutenir les ventes, mais on avait toujours escompté un peu plus 
Mais ça semble qu'on ait sous-estimé le dynamisme du marché asiatique. Moi, j'ai fait des envois à mon frère qui vit à Séoul et il me dit qu'il voit tous les jours des collectionneurs de vins de Bourgogne qui cherchent à acheter des bourgognes pour compléter leurs collections. C'est vraiment génial ! Mais ça ne semble pas avoir eu l'impact attendu sur les ventes... Bref, c'est dommage, je disais que ce serait une belle année pour la vendange de Beaune et maintenant ça va falloir faire face à des chiffres décevants. 
. Et puis y a encore ces taxes américaines qui ont fait reculer les ventes d'août. Mais nous savons que la Bourgogne est une excellente chose ! 
. Le marché asiatique a pourtant joué un rôle important, mais je pense qu'on devrait s'attendre à une baisse des ventes en raison de la crise économique mondiale et des tensions géopolitiques 
. Et puis, il y a toujours la vente des bourgognes comme un événement charitier, c'est sympa, mais on devrait aussi penser à ce qui est vraiment important : le fait que les institutions financées par des dons historiques soient en bonne santé 
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. Il y a bien sûr la crise mondiale et l'incertitude économique à prendre en compte... mais on aurait espéré plus 
Moi, j'avais prévu de passer la journée en famille et de goûter quelques bons Bourgognes... Mais les chiffres sont clairs, la demande n'est pas là. Je comprends que le marché asiatique soit très dynamique, mais il faudrait quand même des enchères plus élevées ! 400 000 euros pour un fût de 228 litres, c'est vraiment un peu bas pour mon goût... Et puis, les États-Unis en août, c'est vrai que ça a beaucoup affecté. Mais le pire, c'est qu'il y a toujours ce sentiment que les vendanges ne sont plus aussi célèbres qu'elles l'étaient dans le passé... Quoi qu'on puisse dire, la cause est bonne, on donne à financer des institutions qui font du bien. Alors, c'est pas tout perdu !