FrabulleRapide
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une nouvelle opération militaire américaine au large du Venezuela suscite de vives réactions. Les États-Unis ont mené deux frappes aériennes en septembre contre un même bateau suspect d'être impliqué dans le trafic de drogue, faisant 11 morts.
La Maison Blanche a récemment confirmé que l'amiral Frank Bradley avait donné son feu vert à l'opération, qui visait à "détruire" le navire. La porte-parole de la présidence, Karoline Leavitt, a déclaré que l'amiral avait agi dans ses fonctions et conformément à la loi régissant l'engagement militaire.
Cependant, les détails de ces frappes ont suscité des polémiques. Selon le Washington Post, le secrétaire à la Défense Pete Hegseth aurait donné les ordres du début à la fin de l'opération, y compris "tuer tous" les occupants du bateau, notamment les deux survivants de la première frappe qui s'accrochaient au navire en flammes.
Le Congrès américain enquête sur un possible crime de guerre lié à ces frappes. Les républicains dénoncent cette responsabilité rejetée sur l'amiral alors que Hegseth avait ordonné de ne laisser aucun survivant lors de telles attaques.
Le Pentagone a démenti les informations du quotidien américain, mais Donald Trump a défendu son ministre. Le président a réuni son Conseil de sécurité nationale lundi sans que rien n'en filtre, après avoir évoqué la possibilité d'opérations terrestres sur des "trafiquants" très bientôt.
La tempête survit alors que l'administration Trump est régulièrement accusée, aux États-Unis comme à l'étranger, de prendre ses aises avec le respect du droit. Les États-Unis ont considérablement renforcé leur présence militaire en mer des Caraïbes au nom de la lutte contre le narcotrafic.
La situation est particulièrement tendue dans la région, où Caracas dément ces frappes et qualifie les opérations américaines d'exécutions extra-judiciaires. Le Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l'homme a exhorté Washington à enquêter sur la légalité des frappes, posant l'hypothèse "d'exécutions extrajudiciaires". De nombreux experts l'ont depuis rejoint dans ses questionnements.
La Maison Blanche a récemment confirmé que l'amiral Frank Bradley avait donné son feu vert à l'opération, qui visait à "détruire" le navire. La porte-parole de la présidence, Karoline Leavitt, a déclaré que l'amiral avait agi dans ses fonctions et conformément à la loi régissant l'engagement militaire.
Cependant, les détails de ces frappes ont suscité des polémiques. Selon le Washington Post, le secrétaire à la Défense Pete Hegseth aurait donné les ordres du début à la fin de l'opération, y compris "tuer tous" les occupants du bateau, notamment les deux survivants de la première frappe qui s'accrochaient au navire en flammes.
Le Congrès américain enquête sur un possible crime de guerre lié à ces frappes. Les républicains dénoncent cette responsabilité rejetée sur l'amiral alors que Hegseth avait ordonné de ne laisser aucun survivant lors de telles attaques.
Le Pentagone a démenti les informations du quotidien américain, mais Donald Trump a défendu son ministre. Le président a réuni son Conseil de sécurité nationale lundi sans que rien n'en filtre, après avoir évoqué la possibilité d'opérations terrestres sur des "trafiquants" très bientôt.
La tempête survit alors que l'administration Trump est régulièrement accusée, aux États-Unis comme à l'étranger, de prendre ses aises avec le respect du droit. Les États-Unis ont considérablement renforcé leur présence militaire en mer des Caraïbes au nom de la lutte contre le narcotrafic.
La situation est particulièrement tendue dans la région, où Caracas dément ces frappes et qualifie les opérations américaines d'exécutions extra-judiciaires. Le Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l'homme a exhorté Washington à enquêter sur la légalité des frappes, posant l'hypothèse "d'exécutions extrajudiciaires". De nombreux experts l'ont depuis rejoint dans ses questionnements.