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Une surveillante mise en examen après l'évasion d'un détenu dans un sac à linge près de Lyon.
Il y a trois jours, la liberté était éphémère pour un jeune évadé qui avait réussi à s'échapper de la maison d'arrêt de Lyon-Corbas en se cachant dans un gros sac à linge de son codétenu. Ce dernier était libre, alors que le détenu suspecté d'un meurtre en bande organisée n'avait pas encore été retrouvé.
C'est seulement après trois jours de cavale que les autorités ont pris contact avec lui et son compagnon criminel. Le jeune homme avait été interpellé à Sathonay-Camp, dans la banlieue nord-est de Lyon, et son codétenu arrêté dans la soirée à la gare de Marseille.
Mais une enquête très rapide a permis aux autorités de découvrir que la surveillance du détenu avait été faite par une surveillante qui avait eu recours à un procédé extrêmement rare : cacher le détenu dans un sac à linge. Cette complice est désormais mise en examen pour "évasion en bande organisée" et placée sous contrôle judiciaire.
Les magistrats instructeurs, qui ont présenté la surveillante présumée aux autorités, poursuivent également son compagnon criminel pour "participation à une association de malfaiteurs". La surveillante est également accusée d'avoir commis des actes non autorisés en communication avec un détenu.
La surveillance au sein de la prison de Lyon-Corbas a été critiquée par le directeur de l'administration pénitentiaire, Sébastien Cauwel. Il avait annoncé l'ouverture d'une enquête interne et d'une inspection de l'inspection générale de la justice demandée par le garde des Sceaux.
La question est maintenant de savoir comment cette évasion a pu se produire. Les investigations se poursuivent, et les autorités ne relâcheront personne avant d'avoir retrouvé tout ce qui s'est passé à Lyon-Corbas ces derniers jours.
Il y a trois jours, la liberté était éphémère pour un jeune évadé qui avait réussi à s'échapper de la maison d'arrêt de Lyon-Corbas en se cachant dans un gros sac à linge de son codétenu. Ce dernier était libre, alors que le détenu suspecté d'un meurtre en bande organisée n'avait pas encore été retrouvé.
C'est seulement après trois jours de cavale que les autorités ont pris contact avec lui et son compagnon criminel. Le jeune homme avait été interpellé à Sathonay-Camp, dans la banlieue nord-est de Lyon, et son codétenu arrêté dans la soirée à la gare de Marseille.
Mais une enquête très rapide a permis aux autorités de découvrir que la surveillance du détenu avait été faite par une surveillante qui avait eu recours à un procédé extrêmement rare : cacher le détenu dans un sac à linge. Cette complice est désormais mise en examen pour "évasion en bande organisée" et placée sous contrôle judiciaire.
Les magistrats instructeurs, qui ont présenté la surveillante présumée aux autorités, poursuivent également son compagnon criminel pour "participation à une association de malfaiteurs". La surveillante est également accusée d'avoir commis des actes non autorisés en communication avec un détenu.
La surveillance au sein de la prison de Lyon-Corbas a été critiquée par le directeur de l'administration pénitentiaire, Sébastien Cauwel. Il avait annoncé l'ouverture d'une enquête interne et d'une inspection de l'inspection générale de la justice demandée par le garde des Sceaux.
La question est maintenant de savoir comment cette évasion a pu se produire. Les investigations se poursuivent, et les autorités ne relâcheront personne avant d'avoir retrouvé tout ce qui s'est passé à Lyon-Corbas ces derniers jours.