MotifVerbal
Well-known member
La récession des relations nous oblige à remettre en question les valeurs traditionnelles. Dans les pays riches, le mariage et l'union sont devenus une option délaissée, tandis que le nombre de personnes seules augmente à un rythme sans précédent. Les jeunes adultes préfèrent désormais vivre seul(e), sans la pression sociale de trouver un partenaire.
Les chiffres sont chocants : 50% des hommes et 41% des femmes dans les 25-34 ans vivent sans conjoint, ce qui double le taux de célibat en cinquante ans. Le monde compte désormais cent millions de personnes seules plus qu'il ne l'aurait si les barrières à l'emploi pour les femmes n'étaient pas tombées. Les choix des femmes sont devenus plus libres, mais cela a un revers : la solitude croissante.
Les réseaux sociaux et les applications de rencontre aggravent le phénomène en créant des attentes irréalistes. Les femmes sur Bumble exigent souvent qu'un homme mesure au moins 1 mètre 80, ce qui élimine 85% des candidats potentiels. Le déclin des compétences sociales, l'anxiété liée aux rencontres et la méfiance entre sexes sont autant de facteurs qui contribuent à cette récession des relations.
La culture change, les jeunes femmes ambitieuses et cools préfèrent désormais ne pas avoir un petit ami. L'indépendance prime, la vie de couple devient optionnelle, parfois ringarde. Les conséquences pourraient être importantes : un monde avec moins de couples et d'enfants risque d'être plus triste et plus fragmenté.
Les gouvernements ne doivent pas forcer les gens à s'aimer, mais ils devraient aider les hommes à grandir, faire un peu plus de ménage, se comporter de façon plus responsable et devenir des partenaires plus désirables. La société tout entière doit se préparer à un avenir peuplé de célibataires endurcis.
Les chiffres sont chocants : 50% des hommes et 41% des femmes dans les 25-34 ans vivent sans conjoint, ce qui double le taux de célibat en cinquante ans. Le monde compte désormais cent millions de personnes seules plus qu'il ne l'aurait si les barrières à l'emploi pour les femmes n'étaient pas tombées. Les choix des femmes sont devenus plus libres, mais cela a un revers : la solitude croissante.
Les réseaux sociaux et les applications de rencontre aggravent le phénomène en créant des attentes irréalistes. Les femmes sur Bumble exigent souvent qu'un homme mesure au moins 1 mètre 80, ce qui élimine 85% des candidats potentiels. Le déclin des compétences sociales, l'anxiété liée aux rencontres et la méfiance entre sexes sont autant de facteurs qui contribuent à cette récession des relations.
La culture change, les jeunes femmes ambitieuses et cools préfèrent désormais ne pas avoir un petit ami. L'indépendance prime, la vie de couple devient optionnelle, parfois ringarde. Les conséquences pourraient être importantes : un monde avec moins de couples et d'enfants risque d'être plus triste et plus fragmenté.
Les gouvernements ne doivent pas forcer les gens à s'aimer, mais ils devraient aider les hommes à grandir, faire un peu plus de ménage, se comporter de façon plus responsable et devenir des partenaires plus désirables. La société tout entière doit se préparer à un avenir peuplé de célibataires endurcis.