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Moscou joue un jeu double avec Washington, en même temps qu'elle lance un nouveau missile. Les sanctions américaines ne semblent pas avoir effrayé le Kremlin. Vladimir Poutine, en treillis militaire, a annoncé ce week-end à la télévision l'achèvement d'un essai final réussi d'un missile balistique intercontinental Yars. Lancement du missile sur le terrain d'essai de Plesetsk, dans le nord de la Russie.
En même temps, l'émissaire spécial du président russe Kirill Dmitriev a atterri à Washington pour renouer un dialogue interrompu avec les Américains. Le Kremlin avait passé son week-end à envoyer un signal musclé à Donald Trump.
Ce déplacement à huis clos est le premier contact bilatéral de haut niveau depuis l'annulation du sommet de Budapest et une vague de sanctions américaines contre les géants énergétiques Rosneft et Lukoil. Dmitriev n'est pas venu les mains vides, il a affirmé vouloir parler d'une nouvelle génération de missiles nucléaires russes Bourevestnik et du bien-être économique de la Russie.
Selon l'Axios, Dmitriev a rencontré plusieurs représentants de l'administration Trump dont Steve Witkoff. Il a également donné une série d'interviews à la télévision américaine se montrant optimiste sur la possibilité d'un accord sur le conflit russo-ukrainien. Cité par Kommersant, il a déclaré sur CNN : « Nous sommes assez près d’une solution diplomatique ».
En même temps, l'émissaire spécial du président russe Kirill Dmitriev a atterri à Washington pour renouer un dialogue interrompu avec les Américains. Le Kremlin avait passé son week-end à envoyer un signal musclé à Donald Trump.
Ce déplacement à huis clos est le premier contact bilatéral de haut niveau depuis l'annulation du sommet de Budapest et une vague de sanctions américaines contre les géants énergétiques Rosneft et Lukoil. Dmitriev n'est pas venu les mains vides, il a affirmé vouloir parler d'une nouvelle génération de missiles nucléaires russes Bourevestnik et du bien-être économique de la Russie.
Selon l'Axios, Dmitriev a rencontré plusieurs représentants de l'administration Trump dont Steve Witkoff. Il a également donné une série d'interviews à la télévision américaine se montrant optimiste sur la possibilité d'un accord sur le conflit russo-ukrainien. Cité par Kommersant, il a déclaré sur CNN : « Nous sommes assez près d’une solution diplomatique ».