PapoteurDuSud
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À Paris, huit individus mis en examen pour cyberharcèlement sexiste à l'encontre de Brigitte Macron, épouse du président Emmanuel Macron. Un élu, un galeriste, un enseignant et une médium sont comptabilisés parmi les poursuivis.
Selon le parquet de Paris, ces huit personnes auraient laissé supposer que la première dame était née homme, ou ont affirmé qu'elle partageait des comportements sexuels anormaux avec son époux. D'autres y ont ajouté une touche de pédophilie. "Des propos très blessants et très diffamatoires", selon les avocats du procureur de Paris.
Brigitte Macron avait déposé sa plainte en août dernier, confiée à la brigade de répression de la délinquance contre la personne de Paris. Parmi les poursuivis, on retrouve le publicitaire Aurélien Poirson-Atlan, connu sous le pseudonyme de Zoé Sagan sur X.
Cette affaire est liée à une vague de fake news transphobes qui ont touché Brigitte Macron depuis 2017. La première dame a déjà attaqué en justice Candace Owens, militante d'extrême-droite qui avait créé un podcast pour "démontrer" que la septuagénaire était un homme.
Les avocats de ces huit poursuivis se défendent et dénient les allégations. D'une part, ils soutiennent que leurs clients n'ont que des propos innocents, sans intention de nuire à l'image ou à l'intégrité de Brigitte Macron.
Selon le parquet de Paris, ces huit personnes auraient laissé supposer que la première dame était née homme, ou ont affirmé qu'elle partageait des comportements sexuels anormaux avec son époux. D'autres y ont ajouté une touche de pédophilie. "Des propos très blessants et très diffamatoires", selon les avocats du procureur de Paris.
Brigitte Macron avait déposé sa plainte en août dernier, confiée à la brigade de répression de la délinquance contre la personne de Paris. Parmi les poursuivis, on retrouve le publicitaire Aurélien Poirson-Atlan, connu sous le pseudonyme de Zoé Sagan sur X.
Cette affaire est liée à une vague de fake news transphobes qui ont touché Brigitte Macron depuis 2017. La première dame a déjà attaqué en justice Candace Owens, militante d'extrême-droite qui avait créé un podcast pour "démontrer" que la septuagénaire était un homme.
Les avocats de ces huit poursuivis se défendent et dénient les allégations. D'une part, ils soutiennent que leurs clients n'ont que des propos innocents, sans intention de nuire à l'image ou à l'intégrité de Brigitte Macron.