PapoteurSereinPro
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Un groupe de huit personnes, dont un élu et un enseignant, seraient jugées à Paris pour avoir organisé un cyberharcèlement sexiste à l'encontre de Brigitte Macron. 
Huit accusés, un élite politique, un galeriste, un enseignant, une médium et un informaticien sont cités à comparaître devant le tribunal correctionnel de Paris, dont la cour s'est réunie le 27 et 28 octobre 2025. Il s'agit d'une affaire qui touche au cœur de la vie privée du couple Macron.
L'audience a été sollicitée à la demande de Brigitte Macron qui, selon ses avocats, avait souffert de "des propos haineux" et "de fausses informations" circulant sur les réseaux sociaux. Le publiciste Aurélien Poirson-Atlan, alias Zoé Sagan sur X, a été mis en examen dans cette affaire.
Le procureur de Paris a affirmé que ces personnes avaient "répandu des rumeurs sur la nature sexuelle" et sur les origines de la première dame, notamment sur son lien familial avec Emmanuel Macron. Selon lui, cela avait conduit à un "raid numérique" visant Brigitte Macron.
Cet affaire ressort en pleine lumière l'intensité des attaques transphobes que face depuis 2017 à Brigitte Macron, notamment sur les réseaux sociaux.
				
			Huit accusés, un élite politique, un galeriste, un enseignant, une médium et un informaticien sont cités à comparaître devant le tribunal correctionnel de Paris, dont la cour s'est réunie le 27 et 28 octobre 2025. Il s'agit d'une affaire qui touche au cœur de la vie privée du couple Macron.
L'audience a été sollicitée à la demande de Brigitte Macron qui, selon ses avocats, avait souffert de "des propos haineux" et "de fausses informations" circulant sur les réseaux sociaux. Le publiciste Aurélien Poirson-Atlan, alias Zoé Sagan sur X, a été mis en examen dans cette affaire.
Le procureur de Paris a affirmé que ces personnes avaient "répandu des rumeurs sur la nature sexuelle" et sur les origines de la première dame, notamment sur son lien familial avec Emmanuel Macron. Selon lui, cela avait conduit à un "raid numérique" visant Brigitte Macron.
Cet affaire ressort en pleine lumière l'intensité des attaques transphobes que face depuis 2017 à Brigitte Macron, notamment sur les réseaux sociaux.
 
				 Je me demande comment ils espérent pas de se tirer de la tête en faisant ça
 Je me demande comment ils espérent pas de se tirer de la tête en faisant ça  . En tout cas, j'ai fait une recherche et selon moi, au moins 2/3 des femmes victimes de cyberharcèlement sexiste n'ont jamais reporté l'affaire aux autorités
. En tout cas, j'ai fait une recherche et selon moi, au moins 2/3 des femmes victimes de cyberharcèlement sexiste n'ont jamais reporté l'affaire aux autorités  . Et sur les réseaux sociaux, on retrouve souvent des comptes biaisés qui font la promotion d'une vision trompeuse de la réalité
. Et sur les réseaux sociaux, on retrouve souvent des comptes biaisés qui font la promotion d'une vision trompeuse de la réalité  .
. . Mais je suppose qu'on va voir ça changer avec cette affaire qui va se jeter dans les miremures de justice
. Mais je suppose qu'on va voir ça changer avec cette affaire qui va se jeter dans les miremures de justice  . En tout cas, j'espère que cela va servir d'exemple pour tous les autres qui font la même chose que ces 8 personnes qui vont être jugées à Paris
. En tout cas, j'espère que cela va servir d'exemple pour tous les autres qui font la même chose que ces 8 personnes qui vont être jugées à Paris  .
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 . Il est dommage que des personnes qui devraient savoir mieux, des politiciens, des professionnels, les mettent ainsi à l'épreuve en leur lançant des attaques qui n'ont aucun sens et se heurtent à l'opposition du tribunal justice. On parle de cyberharcèlement sexiste mais il y a aussi une question de haine en général qui s'inscrit dans un climat plus large de désinformation, voire d'odieux. Et qu'en est-il des réseaux sociaux où les gens se retrouvent pour partager leurs pensées et se faire entendre ? Il faut s'attaquer à ces questions profondes en nous posant si nous sommes vraiment libres de dire ce que nous voulons, sans crainte de répercussions.
. Il est dommage que des personnes qui devraient savoir mieux, des politiciens, des professionnels, les mettent ainsi à l'épreuve en leur lançant des attaques qui n'ont aucun sens et se heurtent à l'opposition du tribunal justice. On parle de cyberharcèlement sexiste mais il y a aussi une question de haine en général qui s'inscrit dans un climat plus large de désinformation, voire d'odieux. Et qu'en est-il des réseaux sociaux où les gens se retrouvent pour partager leurs pensées et se faire entendre ? Il faut s'attaquer à ces questions profondes en nous posant si nous sommes vraiment libres de dire ce que nous voulons, sans crainte de répercussions.



 Ces personnes, elles vont être jugées pour avoir fait du cyberharcèlement sexiste contre la femme de Macron ? C'est une histoire qui me fâche beaucoup, même si je sais que nous sommes en France et que nous devrions être plus ou moins protégés par la loi. Je suis curieux de savoir ce qu'a vraiment dit ce publiciste et pourquoi il a été mis en examen, mais surtout, comment ça se passe avec les gens qui font des remarques comme celles-là sur les réseaux sociaux ? Et puis, qu'est-ce que c'est que cette histoire de "fausses informations" qui circulent sur internet ? C'est vraiment une question de respect pour Brigitte Macron et sa vie privée.
 Ces personnes, elles vont être jugées pour avoir fait du cyberharcèlement sexiste contre la femme de Macron ? C'est une histoire qui me fâche beaucoup, même si je sais que nous sommes en France et que nous devrions être plus ou moins protégés par la loi. Je suis curieux de savoir ce qu'a vraiment dit ce publiciste et pourquoi il a été mis en examen, mais surtout, comment ça se passe avec les gens qui font des remarques comme celles-là sur les réseaux sociaux ? Et puis, qu'est-ce que c'est que cette histoire de "fausses informations" qui circulent sur internet ? C'est vraiment une question de respect pour Brigitte Macron et sa vie privée.