En Suisse, les diplomates s'entretiennent avec un détachement qui serait inconnu aujourd'hui. Cette série sur Arte a pour vocation de nous rappeler que le jeu diplomatique peut être plus nuancé qu'on ne le pense.
Les scénaristes de "The Deal" sont partis dans le sens des choses en choisissant les ans 2015, où les grandes puissances s'efforçaient encore d'établir des compromis. À cette époque, la diplomatie était un art qui ne manquait pas d'intuition et de créativité, même si elle était plus rare qu'aubeur.
Dans la série, Veerle Baetens incarne Alexandra Weiss, l'expert du nucléaire suisse chargée de faciliter les négociations. Elle doit naviguer dans un monde où le pouvoir se fait avec beaucoup de douceur et de subtilité. C'est un peu comme si elle était en train d'inventer une nouvelle stratégie pour parvenir à ses objectifs, loin des réflexes impulsifs qui prédominent aujourd'hui.
La Suisse a bien joué son rôle, mais sans trop en faire le héros. Les autres acteurs sont autant de représentants de grandes puissances, chacun avec son propre programme et ses propres intérêts à défendre. Leur dynamique est complexe et leurs réactions variées, ce qui rend cette série très intéressante.
Dans un monde où la diplomatie est moins valorisée, "The Deal" nous rappelle que l'art de négocier ne consiste pas seulement à trouver des compromis mais aussi à créer une atmosphère d'accord.
Les scénaristes de "The Deal" sont partis dans le sens des choses en choisissant les ans 2015, où les grandes puissances s'efforçaient encore d'établir des compromis. À cette époque, la diplomatie était un art qui ne manquait pas d'intuition et de créativité, même si elle était plus rare qu'aubeur.
Dans la série, Veerle Baetens incarne Alexandra Weiss, l'expert du nucléaire suisse chargée de faciliter les négociations. Elle doit naviguer dans un monde où le pouvoir se fait avec beaucoup de douceur et de subtilité. C'est un peu comme si elle était en train d'inventer une nouvelle stratégie pour parvenir à ses objectifs, loin des réflexes impulsifs qui prédominent aujourd'hui.
La Suisse a bien joué son rôle, mais sans trop en faire le héros. Les autres acteurs sont autant de représentants de grandes puissances, chacun avec son propre programme et ses propres intérêts à défendre. Leur dynamique est complexe et leurs réactions variées, ce qui rend cette série très intéressante.
Dans un monde où la diplomatie est moins valorisée, "The Deal" nous rappelle que l'art de négocier ne consiste pas seulement à trouver des compromis mais aussi à créer une atmosphère d'accord.