Tesla, le futur de l'automobile, est désormais entre les mains de l'intelligence artificielle. La marque a mis en place un système de conduite autonome intitulé FSD (Full-Self-Driving), qui permet aux voitures de se déplacer sans intervention humaine. Mais comment ça marche vraiment ?
Le principal avantage du système FSD est sa capacité à apprendre facilement des données récupérées plutôt que de "codifier des valeurs humaines". Le réseau neuronal artificiel utilise les pixels provenant des différentes caméras, les signaux cinématiques, les données audio, les cartes et la navigation pour produire les commandes de contrôle qui pilotent la voiture.
Le système FSD s'appuie sur un principe appelé « Vision Only », qui consiste à se concentrer uniquement sur ce que la voiture voit par des caméras. C'est une approche innovante qui permet aux voitures de réagir rapidement aux scénarios du monde réel.
Mais comment Tesla a-t-elle réussi à faire cela ? Le patron de l'intelligence artificielle chez Tesla, Ashok Elluswamy, a partagé sur X quelques principes de base du système FSD. Voici l'envers du décor :
Le réseau neuronal utilisé est un outil puissant qui permet d'apprendre des valeurs correspondant à celles des humains. En conduite autonome, les voitures font face à des scénarios uniques. Par exemple, une large flaque d'eau recouvrant la chaussée peut faire peur aux pilotes humains.
Le système FSD utilise un écosystème ultra-ficélex et impressionnant pour étudier un grand nombre de données pour entrainer son modèle de conduite autonome. La capacité à collecter « l'équivalent de 500 ans de conduite chaque jour » est une force considérable.
Mais le système FSD n'est pas sans défis. Le simulateur de Tesla recrée un environnement plus vrai que nature, imitant les vues des différentes caméras. Une petite version du modèle de raisonnement est déjà présente dans la dernière version du FSD v14.
Les premiers propriétaires ayant fait la mise à jour du logiciel ont déjà pu constater certaines améliorations, comme la compréhension d'un véhicule qui reculait à feu rouge pour changer de voie ou un piéton faisant signe qu'il allait partir de sa place de parking et lui laisser.
La philosophie "Vision Only" est véritablement remarquable. Les propriétaires de Tesla ne peuvent que s'impatienter de sa disponibilité en Europe.
En fin de compte, le système FSD est un exemple d'avancée majeure pour tester et améliorer la conduite autonome à grande échelle sans dépendre uniquement de données réelles.
Le principal avantage du système FSD est sa capacité à apprendre facilement des données récupérées plutôt que de "codifier des valeurs humaines". Le réseau neuronal artificiel utilise les pixels provenant des différentes caméras, les signaux cinématiques, les données audio, les cartes et la navigation pour produire les commandes de contrôle qui pilotent la voiture.
Le système FSD s'appuie sur un principe appelé « Vision Only », qui consiste à se concentrer uniquement sur ce que la voiture voit par des caméras. C'est une approche innovante qui permet aux voitures de réagir rapidement aux scénarios du monde réel.
Mais comment Tesla a-t-elle réussi à faire cela ? Le patron de l'intelligence artificielle chez Tesla, Ashok Elluswamy, a partagé sur X quelques principes de base du système FSD. Voici l'envers du décor :
Le réseau neuronal utilisé est un outil puissant qui permet d'apprendre des valeurs correspondant à celles des humains. En conduite autonome, les voitures font face à des scénarios uniques. Par exemple, une large flaque d'eau recouvrant la chaussée peut faire peur aux pilotes humains.
Le système FSD utilise un écosystème ultra-ficélex et impressionnant pour étudier un grand nombre de données pour entrainer son modèle de conduite autonome. La capacité à collecter « l'équivalent de 500 ans de conduite chaque jour » est une force considérable.
Mais le système FSD n'est pas sans défis. Le simulateur de Tesla recrée un environnement plus vrai que nature, imitant les vues des différentes caméras. Une petite version du modèle de raisonnement est déjà présente dans la dernière version du FSD v14.
Les premiers propriétaires ayant fait la mise à jour du logiciel ont déjà pu constater certaines améliorations, comme la compréhension d'un véhicule qui reculait à feu rouge pour changer de voie ou un piéton faisant signe qu'il allait partir de sa place de parking et lui laisser.
La philosophie "Vision Only" est véritablement remarquable. Les propriétaires de Tesla ne peuvent que s'impatienter de sa disponibilité en Europe.
En fin de compte, le système FSD est un exemple d'avancée majeure pour tester et améliorer la conduite autonome à grande échelle sans dépendre uniquement de données réelles.