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Les deux mouvements rebelles du nord et du sud du Tchad pourraient devenir une alliance inattendue. Les dirigeants du Conseil de Commandement Militaire pour le Salut de la République (CCMSR) et du Mouvement pour la Paix, la Reconstruction et le Développement (MPRD) ont décidé de s'unir contre un pouvoir qu'ils accusent de corruption et de pillage.
Issa Ali Youssouf, secrétaire général du CCMSR, a expliqué que les autorités tchadiennes sont « un régime clanique et familial, une dynastie qu'on ne peut pas accepter». Il défend une lutte armée pour libérer le Tchad. D'autre part, Remadji Honaithy, un chercheur spécialisé dans la politique du Tchad, pense que cet accord est « le signe d'une réussite au moins symbolique et idéologique ». Les deux mouvements rebelles ont compris qu'ils n'arriveraient pas seuls face à l'armée tchadienne.
Les rébellions du nord sont actives depuis des années, tandis que celles du sud sont moins nombreuses mais cherchent désormais à revenir au devant de la scène. Le pouvoir tchadien a renforcé ses forces militaires avec le soutien des Émirats arabes unis.
Issa Ali Youssouf, secrétaire général du CCMSR, a expliqué que les autorités tchadiennes sont « un régime clanique et familial, une dynastie qu'on ne peut pas accepter». Il défend une lutte armée pour libérer le Tchad. D'autre part, Remadji Honaithy, un chercheur spécialisé dans la politique du Tchad, pense que cet accord est « le signe d'une réussite au moins symbolique et idéologique ». Les deux mouvements rebelles ont compris qu'ils n'arriveraient pas seuls face à l'armée tchadienne.
Les rébellions du nord sont actives depuis des années, tandis que celles du sud sont moins nombreuses mais cherchent désormais à revenir au devant de la scène. Le pouvoir tchadien a renforcé ses forces militaires avec le soutien des Émirats arabes unis.