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"Ta mère, réveille-toi !" : Nicolas Sarkozy chahuté en pleine nuit par d'autres détenus de la prison, la situation dérape.
Le 21 octobre 2025, la première nuit d'incarcération de Nicolas Sarkozy à la prison de la Santé a été marquée par une scène choquante. Les détenus du quartier où il est détenu ont délibérément cherché à le réveiller en hurlant des insultes et des provocations, comme on peut l'apercevoir sur une vidéo virale qui a circulé sur les réseaux sociaux.
"Oh Sarko, la ch*tte à ta mère, réveille-toi !" ont crié certains d'entre eux. Ce comportement est considéré comme un trouble à l'ordre pénitentiaire et trois détenus auraient été placés en garde à vue pour leurs actes.
La situation a été exacerbée par le fait que Sarkozy était placé dans un quartier isolé, sous surveillance accrue, mais les autorités pénitentiaires ont finalement dû intervenir pour maintenir l'ordre. Cette réponse rapide suggère une volonté de montrer que la tranquillité d'un ancien chef de l'État ne tolère pas de débordement, même en prison.
Cet événement a suscité des réactions très variées sur les réseaux sociaux, certains y voyant un symbole d'égalité pour un homme qui a passé sa vie à occupé les sommets de la politique et d'autres en dénonçant un manque de respect aux institutions et à la personne qui les a dirigées.
En fin de compte, cette scène choquante met en lumière le problème plus large de sécurité et d'ordre dans les prisons françaises, ainsi que la difficulté pour les autorités pénitentiaires de gérer les comportements des détenus.
Le 21 octobre 2025, la première nuit d'incarcération de Nicolas Sarkozy à la prison de la Santé a été marquée par une scène choquante. Les détenus du quartier où il est détenu ont délibérément cherché à le réveiller en hurlant des insultes et des provocations, comme on peut l'apercevoir sur une vidéo virale qui a circulé sur les réseaux sociaux.
"Oh Sarko, la ch*tte à ta mère, réveille-toi !" ont crié certains d'entre eux. Ce comportement est considéré comme un trouble à l'ordre pénitentiaire et trois détenus auraient été placés en garde à vue pour leurs actes.
La situation a été exacerbée par le fait que Sarkozy était placé dans un quartier isolé, sous surveillance accrue, mais les autorités pénitentiaires ont finalement dû intervenir pour maintenir l'ordre. Cette réponse rapide suggère une volonté de montrer que la tranquillité d'un ancien chef de l'État ne tolère pas de débordement, même en prison.
Cet événement a suscité des réactions très variées sur les réseaux sociaux, certains y voyant un symbole d'égalité pour un homme qui a passé sa vie à occupé les sommets de la politique et d'autres en dénonçant un manque de respect aux institutions et à la personne qui les a dirigées.
En fin de compte, cette scène choquante met en lumière le problème plus large de sécurité et d'ordre dans les prisons françaises, ainsi que la difficulté pour les autorités pénitentiaires de gérer les comportements des détenus.