La suspension de la réforme des retraites jusqu'en 2028 est un « répit bienvenu » pour Emmanuel Macron, mais les médias internationaux soulignent sa responsabilité dans l'instabilité qui perdure à Paris. Le président français a mis fin à une réforme contestée qui devait relever l'âge de la retraite de 62 à 64 ans.
La décision est saluée par les médias internationaux, mais la presse britannique, comme The Guardian et The Times, souligne que cette concession majeure traduit « une reconnaissance tardive par Macron que le gel de la loi impopulaire était le seul moyen de sauver son Premier ministre ». Le Parti socialiste a annoncé qu'il est prêt à prendre le pari de ne pas censurer jeudi à l'Assemblée le gouvernement Lecornu II, qui promet un nouveau vote sur cette réforme.
Le coût de cette suspension est élevé : 400 millions d'euros en 2026 et 1,8 milliard en 2027. Les médias soulignent que la France ne peut pas se permettre une répétition du chaos qui a saisi le pays au cours des deux dernières semaines.
Malgré tout, la presse étrangère est critique à l'égard de Macron et de son gouvernement. Le Wall Street Journal considère que « ce revirement constitue un revers cuisant pour Macron », qui défend « le relèvement de l’âge de la retraite comme le seul moyen de préserver le modèle social français sans alourdir encore les impôts et la dette ». La BBC estime que sa décision de se remettre en question sur une telle réforme contestée montre à quel point le président est désireux d'éviter d'autres troubles.
La presse espagnole, comme El Païs et La Vanguardia, souligne également la responsabilité de Macron dans l'instabilité qui perdure à Paris. Le journal suisse Blick parle d'une France « pas foutue », mais « très malade ».
La décision est saluée par les médias internationaux, mais la presse britannique, comme The Guardian et The Times, souligne que cette concession majeure traduit « une reconnaissance tardive par Macron que le gel de la loi impopulaire était le seul moyen de sauver son Premier ministre ». Le Parti socialiste a annoncé qu'il est prêt à prendre le pari de ne pas censurer jeudi à l'Assemblée le gouvernement Lecornu II, qui promet un nouveau vote sur cette réforme.
Le coût de cette suspension est élevé : 400 millions d'euros en 2026 et 1,8 milliard en 2027. Les médias soulignent que la France ne peut pas se permettre une répétition du chaos qui a saisi le pays au cours des deux dernières semaines.
Malgré tout, la presse étrangère est critique à l'égard de Macron et de son gouvernement. Le Wall Street Journal considère que « ce revirement constitue un revers cuisant pour Macron », qui défend « le relèvement de l’âge de la retraite comme le seul moyen de préserver le modèle social français sans alourdir encore les impôts et la dette ». La BBC estime que sa décision de se remettre en question sur une telle réforme contestée montre à quel point le président est désireux d'éviter d'autres troubles.
La presse espagnole, comme El Païs et La Vanguardia, souligne également la responsabilité de Macron dans l'instabilité qui perdure à Paris. Le journal suisse Blick parle d'une France « pas foutue », mais « très malade ».