La ville du Darfour, au Soudan, est de nouveau sous le joug des forces de soutien rapide, qui ont repoussé les rebelles armés. Mais ce regain du pouvoir n'a pas manqué de faire des ravages dans la population civile. Les massacres sont répétés depuis plusieurs jours, selon l'ONU.
Les images diffusées sur les réseaux sociaux montrent des scènes d'horreur : des hommes et des femmes à terre, exécutés froidement par balles. "C'est une situation effrayante", a déclaré Claire San Filippo, responsable des urgences chez Médecins sans frontières.
Selon elle, plusieurs personnes ont été victimes de viols, notamment sur des femmes et des enfants. "Les récits que nous recevons sont des descriptions d'horreur : assassinats, tortures, battues", a-t-elle dit. La situation est considérée comme catastrophique.
Des blessés par balles circulent également. Beaucoup souffrent de malnutrition et portaient des cicatrices anciennes due aux tirs. Les habitants de la ville sont prisonniers de la violence, contraints à rester à El Fasher, où les forces de soutien rapide ont repoussé les rebelles armés.
L'ONU dénonce ces atrocités "effroyables", qui concernent au moins 460 personnes tuées dans une maternité depuis dimanche. Des dizaines d'autres sont partis chercher refuge dans la ville voisine de Tawila, à 60 kilomètres d'El Fasher.
La situation est dévastatrice et nécessite une intervention immédiate.
Les images diffusées sur les réseaux sociaux montrent des scènes d'horreur : des hommes et des femmes à terre, exécutés froidement par balles. "C'est une situation effrayante", a déclaré Claire San Filippo, responsable des urgences chez Médecins sans frontières.
Selon elle, plusieurs personnes ont été victimes de viols, notamment sur des femmes et des enfants. "Les récits que nous recevons sont des descriptions d'horreur : assassinats, tortures, battues", a-t-elle dit. La situation est considérée comme catastrophique.
Des blessés par balles circulent également. Beaucoup souffrent de malnutrition et portaient des cicatrices anciennes due aux tirs. Les habitants de la ville sont prisonniers de la violence, contraints à rester à El Fasher, où les forces de soutien rapide ont repoussé les rebelles armés.
L'ONU dénonce ces atrocités "effroyables", qui concernent au moins 460 personnes tuées dans une maternité depuis dimanche. Des dizaines d'autres sont partis chercher refuge dans la ville voisine de Tawila, à 60 kilomètres d'El Fasher.
La situation est dévastatrice et nécessite une intervention immédiate.