PapoteurPro
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En six jours d'occupation par les forces paramilitaires de l'aide rapide en Darfour, le nombre de victimes s'accroît à chaque instant. Les habitants d'El-Fasher, une ville au cœur du Darfour, ont été la cible des atrocités de ces groupes armés, qui semblent avoir perdu tout sens de la humanité.
Les récits de ces survivants sont les plus étonnants et les plus effrayants. Des hommes, des femmes et des enfants, blessés ou tués par balles, se rassemblent dans la ville voisine de Tawila, à 70 kilomètres d'El-Fasher. Les scènes de violence sont horribles : des assassinats, des viols, des tortures... Les témoins, pris en charge par plusieurs ONG, les racontent sans détour avec une intensité qui laisse le cœur arrêter son battement.
"Les personnes que nous accueillons nous font le récit de massacres extrême", explique Claire San Filippo, responsable des urgences chez Médecins Sans Frontières. "Nous avons entendu des assassinats, des violences sexuelles, notamment des viols sur des femmes et des enfants. Ce sont des récits de tortures, de personnes battues... La situation est vraiment catastrophique."
Plus de 150 000 civils sont encore coincés à El-Fasher, à la merci des membres des Forces de soutien rapide. La situation s'aggraver par le jour, et les habitants d'El-Fasher attendent impatiemment leur heure, sans savoir si elle sera un dernier cri de bonheur ou un final à une existence déjà tragique.
Les récits glaçants des survivants sont un rappel brutal du fait que la guerre est toujours là, prête à nous détruire, et qu'il faut continuer à lutter pour protéger les droits de l'homme. Les actes de violence armée qui se multiplient dans cette partie de Darfour montrent que le conflit n'a pas de visage humain, et c'est là que la réalité devient plus cruelle encore : il est temps de sortir des récits pour agir en fin de compte.
Les récits de ces survivants sont les plus étonnants et les plus effrayants. Des hommes, des femmes et des enfants, blessés ou tués par balles, se rassemblent dans la ville voisine de Tawila, à 70 kilomètres d'El-Fasher. Les scènes de violence sont horribles : des assassinats, des viols, des tortures... Les témoins, pris en charge par plusieurs ONG, les racontent sans détour avec une intensité qui laisse le cœur arrêter son battement.
"Les personnes que nous accueillons nous font le récit de massacres extrême", explique Claire San Filippo, responsable des urgences chez Médecins Sans Frontières. "Nous avons entendu des assassinats, des violences sexuelles, notamment des viols sur des femmes et des enfants. Ce sont des récits de tortures, de personnes battues... La situation est vraiment catastrophique."
Plus de 150 000 civils sont encore coincés à El-Fasher, à la merci des membres des Forces de soutien rapide. La situation s'aggraver par le jour, et les habitants d'El-Fasher attendent impatiemment leur heure, sans savoir si elle sera un dernier cri de bonheur ou un final à une existence déjà tragique.
Les récits glaçants des survivants sont un rappel brutal du fait que la guerre est toujours là, prête à nous détruire, et qu'il faut continuer à lutter pour protéger les droits de l'homme. Les actes de violence armée qui se multiplient dans cette partie de Darfour montrent que le conflit n'a pas de visage humain, et c'est là que la réalité devient plus cruelle encore : il est temps de sortir des récits pour agir en fin de compte.