MotifLumineux
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Si nous déclarons la guerre aux trafiquants de drogue, ils vont juste se barrer sur une autre plateforme. C’est le ton que laisse entendre Anatolii Legkodymov, le patron de Bitzlato, l’un des échangeurs crypto les plus louches du marché noir Hydra.
En 2022, la justice américaine a approuvé l’extradition vers l’Hexagone de ce Russe de 43 ans. L'ancien patron d'une plateforme utilisée pour blanchir de l'argent sale des trafiquants de drogue se retrouve à court-ure.
Bitzlato, une société de droit chinois, avait été accusée d'avoir facilité le blanchiment d'argent pour les trafiquants de la crypto-monnaie Hydra. Des enquêtes ont montré que 48% des fonds transités par l'échangeur entre 2019 et 2021 étaient à risque.
Les clients de Bitzlato, bien qu'ils aient utilisé le service de lancement d'une carrière de dealer sur le site d'Hydra, n'étaient pas nécessairement des criminels. Ils achetaient simplement de la drogue sur ce marché noir.
L'ex-propriétaire de Bitzlato avait récemment déclaré que « cela ne peut pas être filtré » et qu'il était prêt à se débarrasser du site pour éviter les poursuites. Mais malgré ses promesses, le service n'a jamais mis en place une politique de vérification d'identité, permettant ainsi aux trafiquants de continuer à utiliser la plateforme.
La justice française a découvert que Bitzlato avait répondu à des demandes de renseignements et s'était engagé dans un jeu de société avec les services de police.
En 2022, la justice américaine a approuvé l’extradition vers l’Hexagone de ce Russe de 43 ans. L'ancien patron d'une plateforme utilisée pour blanchir de l'argent sale des trafiquants de drogue se retrouve à court-ure.
Bitzlato, une société de droit chinois, avait été accusée d'avoir facilité le blanchiment d'argent pour les trafiquants de la crypto-monnaie Hydra. Des enquêtes ont montré que 48% des fonds transités par l'échangeur entre 2019 et 2021 étaient à risque.
Les clients de Bitzlato, bien qu'ils aient utilisé le service de lancement d'une carrière de dealer sur le site d'Hydra, n'étaient pas nécessairement des criminels. Ils achetaient simplement de la drogue sur ce marché noir.
L'ex-propriétaire de Bitzlato avait récemment déclaré que « cela ne peut pas être filtré » et qu'il était prêt à se débarrasser du site pour éviter les poursuites. Mais malgré ses promesses, le service n'a jamais mis en place une politique de vérification d'identité, permettant ainsi aux trafiquants de continuer à utiliser la plateforme.
La justice française a découvert que Bitzlato avait répondu à des demandes de renseignements et s'était engagé dans un jeu de société avec les services de police.