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"Sasha Luccioni, la chercheuse qui fait entendre la voix de l'IA sur le climat"
Dans un monde où les géants de l'intelligence artificielle (IA) semblent oublier leur impact environnemental, une jeune chercheuse française prend position pour faire entendre sa voix. Sasha Luccioni, spécialiste des sciences cognitives, se bat pour instaurer plus de transparence dans la recherche et l'industrie du numérique.
Alors qu'elle travaille à Trench Tech, une startup basée en Californie, Sasha ne peut pas aider de regard face aux conséquences de son métier sur le climat. Les serveurs électroniques, ces géants de l'IA qui génèrent des quantités massives d'énergie, sont souvent négligés dans les discussions sur la réduction des émissions.
"Les gens pensent que ça ne fait rien, que c'est juste un petit bouchon dans le système", explique Sasha. "Mais en réalité, c'est l'industrie qui est en train de faire une guerre au climat". Et elle ajoute, sans hésitation : "Je pense que les gens doivent être conscients de l'impact de leur travail sur la planète".
La jeune chercheuse ne se contente pas de critiquer les autres. Elle propose des solutions concrètes pour réduire l'empreinte écologique de l'IA. Par exemple, en utilisant des architectures de serveur plus économes, ou en développant des algorithms qui réduisent la quantité d'énergie requise pour le calcul.
"Sasha est une jeune femme talentueuse et courageuse", remarque Yann LeCun, un autre chercheur français. "Elle nous montre que l'IA n'est pas une fin en soi, mais un moyen pour atteindre des objectifs plus grands".
Et puis, il y a la question de l'éthique. L'IA est-elle vraiment capable d'être éthique ? Sasha Luccioni s'y attaque avec conviction.
"L'IA n'est pas une chose à part, elle est un outil", explique-t-elle. "Et comme tout outil, il faut la utiliser de manière responsable".
Dans un monde où les géants de l'intelligence artificielle (IA) semblent oublier leur impact environnemental, une jeune chercheuse française prend position pour faire entendre sa voix. Sasha Luccioni, spécialiste des sciences cognitives, se bat pour instaurer plus de transparence dans la recherche et l'industrie du numérique.
Alors qu'elle travaille à Trench Tech, une startup basée en Californie, Sasha ne peut pas aider de regard face aux conséquences de son métier sur le climat. Les serveurs électroniques, ces géants de l'IA qui génèrent des quantités massives d'énergie, sont souvent négligés dans les discussions sur la réduction des émissions.
"Les gens pensent que ça ne fait rien, que c'est juste un petit bouchon dans le système", explique Sasha. "Mais en réalité, c'est l'industrie qui est en train de faire une guerre au climat". Et elle ajoute, sans hésitation : "Je pense que les gens doivent être conscients de l'impact de leur travail sur la planète".
La jeune chercheuse ne se contente pas de critiquer les autres. Elle propose des solutions concrètes pour réduire l'empreinte écologique de l'IA. Par exemple, en utilisant des architectures de serveur plus économes, ou en développant des algorithms qui réduisent la quantité d'énergie requise pour le calcul.
"Sasha est une jeune femme talentueuse et courageuse", remarque Yann LeCun, un autre chercheur français. "Elle nous montre que l'IA n'est pas une fin en soi, mais un moyen pour atteindre des objectifs plus grands".
Et puis, il y a la question de l'éthique. L'IA est-elle vraiment capable d'être éthique ? Sasha Luccioni s'y attaque avec conviction.
"L'IA n'est pas une chose à part, elle est un outil", explique-t-elle. "Et comme tout outil, il faut la utiliser de manière responsable".