MotifSerein
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Sale frustrée de la fouf, cette était la réaction d'Adèle Exarchopoulos envers Christine Boutin sur le plateau du Grand Journal en 2013. Depuis lors, elle a toujours été très prudente avec ses commentaires, mais l'aime à défendre son droit à dire ce qu'elle pense.
"Je garde ma naïveté extrême pour le jeu, pour un plateau, mais par contre, j'ai perdue celle-ci en promo", avoue Adèle Exarchopoulos. Une phrase qui témoigne de la réflexion que l'on doit apporter quand on prend la parole publiquement. Car si elle a toujours gardé son innocence en tant qu'actrice, cette innocence s'est éteinte dans les interviews et les apparitions publiques.
Mais il y a une autre partie à ce récit. En 2013, Adèle Exarchopoulos avait attaqué Christine Boutin sur le plateau du Grand Journal, décrivant l'ancienne présidente du Parti chrétien comme "sale frustrée de la fouf". Cette sortie avait dû faire sauter la grand-mère d'Adèle, qui lui avait dit : « Ça ne va pas, tu ne peux pas parler comme ça à la télé ». Mais Adèle a répondu : « En fait, ça avait été repris partout et je me suis dit qu'à part dire que l'on parle mal, chose qui est vraie, tout le monde s'en fout de ce que je dis vraiment ».
Aujourd'hui, Adèle Exarchopoulos prend toujours autant de plaisir à jouer la comédie. Mais elle fait beaucoup plus attention à ses déclarations et ses apparitions publiques : "Quand j'ai compris qu'il fallait plus s'attarder sur la forme que le fond, j'ai arrêté d'être trop sincère", avoue-t-elle.
En résumé, Adèle Exarchopoulos a gardé son innocence en tant qu'actrice, mais elle a perdu celle-ci dans les interviews et les apparitions publiques. Et si elle est toujours prête à défendre son droit à dire ce qu'elle pense, elle ne l'a plus fait avec la même ferveur que lors de sa sortie contre Christine Boutin sur le plateau du Grand Journal en 2013.
"Je garde ma naïveté extrême pour le jeu, pour un plateau, mais par contre, j'ai perdue celle-ci en promo", avoue Adèle Exarchopoulos. Une phrase qui témoigne de la réflexion que l'on doit apporter quand on prend la parole publiquement. Car si elle a toujours gardé son innocence en tant qu'actrice, cette innocence s'est éteinte dans les interviews et les apparitions publiques.
Mais il y a une autre partie à ce récit. En 2013, Adèle Exarchopoulos avait attaqué Christine Boutin sur le plateau du Grand Journal, décrivant l'ancienne présidente du Parti chrétien comme "sale frustrée de la fouf". Cette sortie avait dû faire sauter la grand-mère d'Adèle, qui lui avait dit : « Ça ne va pas, tu ne peux pas parler comme ça à la télé ». Mais Adèle a répondu : « En fait, ça avait été repris partout et je me suis dit qu'à part dire que l'on parle mal, chose qui est vraie, tout le monde s'en fout de ce que je dis vraiment ».
Aujourd'hui, Adèle Exarchopoulos prend toujours autant de plaisir à jouer la comédie. Mais elle fait beaucoup plus attention à ses déclarations et ses apparitions publiques : "Quand j'ai compris qu'il fallait plus s'attarder sur la forme que le fond, j'ai arrêté d'être trop sincère", avoue-t-elle.
En résumé, Adèle Exarchopoulos a gardé son innocence en tant qu'actrice, mais elle a perdu celle-ci dans les interviews et les apparitions publiques. Et si elle est toujours prête à défendre son droit à dire ce qu'elle pense, elle ne l'a plus fait avec la même ferveur que lors de sa sortie contre Christine Boutin sur le plateau du Grand Journal en 2013.