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Une nouvelle vague de tensions en Angleterre a secoué les communautés locales, où la réforme des conditions d'asile présentée par le gouvernement travailliste a suscité un vent de réaction. Des Londoniens qui avaient espéré voir de nouvelles mesures contre l'immigration illégale ont été déçus, car la réforme ne répond pas à leurs attentes.
Selon les chiffres, près de 39 000 arrivées par la Manche depuis le début de l'année, un nombre qui suggère que la question de l'immigration est en train de devenir une préoccupation majeure pour les Britanniques. Les réactions sont variées, allant des expressions d'inquiétude à celles de colère et de dégoût.
Des quartiers de Londres où l'on a vu s'épanouir un commerce communautaire très visible, tels que le quartier de Tower Hamlets, ont radicalement changé ces dernières années. L'apparition de centres spécialisés en conseils d'ordre religieux, comme l'Islamic Sharia Council, a suscité des critiques. "On se sent presque comme des étrangers", déclare Mike, qui est particulièrement sensible à la présence de demandeurs d'asile dans ses quartiers. Les femmes portant le niqab sont un casse-tête pour lui.
D'autres Londoniens expriment leur inquiétude quant à la répartition des ressources publiques. "On ne peut pas avoir seulement des jeunes hommes qui viennent au Royaume-Uni", estime Suzanne, qui pense que les vétérans de guerre méritent des priorités avant les demandeurs d'asile. La question de l'appartenance est également très sensible : pour certains, les changements apportés par l'immigration ont transformé le paysage social de leur communauté.
Les manifestations, telles que la dernière grande manifestation réunissant 150 000 personnes en septembre dernier, sont un symptôme de ces tensions. Les Londinois sont déterminés à faire entendre leur voix, même si les mesures prévues par le gouvernement ne répondent pas à leurs attentes.
Selon les chiffres, près de 39 000 arrivées par la Manche depuis le début de l'année, un nombre qui suggère que la question de l'immigration est en train de devenir une préoccupation majeure pour les Britanniques. Les réactions sont variées, allant des expressions d'inquiétude à celles de colère et de dégoût.
Des quartiers de Londres où l'on a vu s'épanouir un commerce communautaire très visible, tels que le quartier de Tower Hamlets, ont radicalement changé ces dernières années. L'apparition de centres spécialisés en conseils d'ordre religieux, comme l'Islamic Sharia Council, a suscité des critiques. "On se sent presque comme des étrangers", déclare Mike, qui est particulièrement sensible à la présence de demandeurs d'asile dans ses quartiers. Les femmes portant le niqab sont un casse-tête pour lui.
D'autres Londoniens expriment leur inquiétude quant à la répartition des ressources publiques. "On ne peut pas avoir seulement des jeunes hommes qui viennent au Royaume-Uni", estime Suzanne, qui pense que les vétérans de guerre méritent des priorités avant les demandeurs d'asile. La question de l'appartenance est également très sensible : pour certains, les changements apportés par l'immigration ont transformé le paysage social de leur communauté.
Les manifestations, telles que la dernière grande manifestation réunissant 150 000 personnes en septembre dernier, sont un symptôme de ces tensions. Les Londinois sont déterminés à faire entendre leur voix, même si les mesures prévues par le gouvernement ne répondent pas à leurs attentes.