L'enquête sur la mort de Daniel Balavoine, un chanteur français qui disparut avec trois autres personnes lors du Paris-Dakar de 1986, s'embelle récemment grâce aux confidences d'un personnage clé : Yann Arthus-Bertrand. Le photographe et écologiste, qui était à l'époque pilote d'hélicoptère pour le Rallye Paris-Dakar, nous a rapporté une vérité longtemps cachée.
Le 14 janvier 1986, dans la tempête de sable de Gourma-Rharous au Mali, un hélicoptère de l'organisation du rallye, en compagnie de Thierry Sabine, Daniel Balavoine, François-Xavier Bagnoud (pilote), Nathalie Odent (journaliste à RTL) et Sabine Maréchal (ingénieure), décolle depuis Gao. Mais ce jour-là, Yann Arthus-Bertrand n'était pas dans l'hélicoptère ; cependant, il faisait partie de l'équipe proche du Rallye Paris-Dakar.
Selon ses révélations, Thierry Sabine, le responsable de l'organisation du rallye, lui a demandé à la dernière minute de céder sa place au chanteur Daniel Balavoine. "J’étais le photographe de Thierry Sabine sur le Paris-Dakar, et un jour, Thierry me demande : 'Est-ce que tu ne pourrais pas donner ta place au chanteur ?'" a-t-il déclaré.
Le changement de dernière minute a sauvé la vie de Yann Arthus-Bertrand. Mais il a également ôté celle de Daniel Balavoine, qui n'avait que 33 ans. Le photographe est toujours marqué par cet événement tragique et maintient une relation spirituelle avec le chanteur disparu.
Le septuagénaire a confirmé avoir écouté régulièrement la chanson "Tous les cris, les SOS" de Daniel Balavoine lors du réveil. Ses mots émeurent encore : "Il s'est tué dans l'hélicoptère… à ma place".
Le 14 janvier 1986, dans la tempête de sable de Gourma-Rharous au Mali, un hélicoptère de l'organisation du rallye, en compagnie de Thierry Sabine, Daniel Balavoine, François-Xavier Bagnoud (pilote), Nathalie Odent (journaliste à RTL) et Sabine Maréchal (ingénieure), décolle depuis Gao. Mais ce jour-là, Yann Arthus-Bertrand n'était pas dans l'hélicoptère ; cependant, il faisait partie de l'équipe proche du Rallye Paris-Dakar.
Selon ses révélations, Thierry Sabine, le responsable de l'organisation du rallye, lui a demandé à la dernière minute de céder sa place au chanteur Daniel Balavoine. "J’étais le photographe de Thierry Sabine sur le Paris-Dakar, et un jour, Thierry me demande : 'Est-ce que tu ne pourrais pas donner ta place au chanteur ?'" a-t-il déclaré.
Le changement de dernière minute a sauvé la vie de Yann Arthus-Bertrand. Mais il a également ôté celle de Daniel Balavoine, qui n'avait que 33 ans. Le photographe est toujours marqué par cet événement tragique et maintient une relation spirituelle avec le chanteur disparu.
Le septuagénaire a confirmé avoir écouté régulièrement la chanson "Tous les cris, les SOS" de Daniel Balavoine lors du réveil. Ses mots émeurent encore : "Il s'est tué dans l'hélicoptère… à ma place".