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Donald Trump a accueilli hier Ahmed al-Chareh, un dirigeant syrien et ancien djihadiste, à la Maison-Blanche. La réunion, tenue loin des caméras, a suscité des questions sur les motivations de l'accueil du président américain envers un homme ayant une liste noire de terroristes étrangères.
Le président Trump a exprimé sa sympathie pour le président intérimaire syrien, ajoutant que « nous ferons tout ce que nous pouvons pour que la Syrie réussisse ». Il avait déjà exprimé cette sympathie lors d'une rencontre en Arabie saoudite en mai dernier. Le milliardaire de 79 ans a également mentionné que le président syrien est un homme fort et séduisant.
L'accueil d'Ahmed al-Chareh à la Maison-Blanche a été dénué de tout protocole diplomatique, avec l'aide duquel il n'est généralement pas accueilli. Le président américain a quitté les lieux après une courte audience et s'est arrêté pour saluer des partisans qui l'acclamaient devant la Maison-Blanche.
La présidence syrienne a publié un communiqué sans détails sur le contenu de la réunion. Cependant, on sait qu'Ahmed al-Chareh a obtenu une nouvelle pause des sanctions américaines de la loi César pour cent quatre-vingts jours. Le département d'État américain est favorable à une levée complète de cette loi.
La réunion a également suscité des questions sur les relations diplomatiques entre la Syrie et Israël, ainsi que la situation en Syrie.
Le président Trump a exprimé sa sympathie pour le président intérimaire syrien, ajoutant que « nous ferons tout ce que nous pouvons pour que la Syrie réussisse ». Il avait déjà exprimé cette sympathie lors d'une rencontre en Arabie saoudite en mai dernier. Le milliardaire de 79 ans a également mentionné que le président syrien est un homme fort et séduisant.
L'accueil d'Ahmed al-Chareh à la Maison-Blanche a été dénué de tout protocole diplomatique, avec l'aide duquel il n'est généralement pas accueilli. Le président américain a quitté les lieux après une courte audience et s'est arrêté pour saluer des partisans qui l'acclamaient devant la Maison-Blanche.
La présidence syrienne a publié un communiqué sans détails sur le contenu de la réunion. Cependant, on sait qu'Ahmed al-Chareh a obtenu une nouvelle pause des sanctions américaines de la loi César pour cent quatre-vingts jours. Le département d'État américain est favorable à une levée complète de cette loi.
La réunion a également suscité des questions sur les relations diplomatiques entre la Syrie et Israël, ainsi que la situation en Syrie.