MotifNomade
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Renault envisage de reprendre l'essence dans ses futurs modèles électriques, une décision qui pourrait surprendre les puristes de l'électrique. Mais que peut bien se passer dans ce contexte ? Nous allons explorer les raisons derrière cette réflexion.
L'industrie automobile est devenue un marché très compétitif, où les constructeurs doivent s'adapter pour rester en jeu. Alors que la demande de voitures électriques continues à croître, Renault a commencé à réfléchir à une stratégie plus pragmatique.
Le principal argument de ce changement de cap est le marché lui-même. Les ventes de voitures 100% électriques sont en augmentation, mais elles ne sont pas aussi explosives qu'anticipée par de nombreux constructeurs. En se concentrant uniquement sur l'électrique, Renault risque de laisser un vide dans sa gamme qui serait difficile à combler.
En outre, les performances commerciales des modèles électriques de Renault sont en deçà des objectifs. Proposer des alternatives thermiques ou hybrides pourrait aider à booster les volumes de production et à mieux rentabiliser les plateformes.
Le Scénic, le Mégane et la ZOE sont les principaux modèles concernés par cette réflexion. Mais quels types de motorisations thermiques seront envisagés ? La réponse est une adaptation de la technologie EREV (Extended Range Electric Vehicle), qui consiste à utiliser un petit moteur essence pour recharger la batterie sur de longues distances.
Cette décision ne peut pas être qualifiée d'aventurisme, mais plutôt comme un pragmatisme industriel. Renault cherche à s'adapter aux changements du marché et à sécuriser les volumes. La décision finale devrait être officialisée en mars 2026 lors de la présentation du nouveau plan stratégique.
Il est difficile de prédire comment cette décision sera accueillie par le public. Les puristes de l'électrique et les anti-VE risquent de se poursuivre dans leur débat, mais il est également possible que cette approche pragmatique soit vue comme une solution pour répondre aux attentes du marché.
L'industrie automobile est devenue un marché très compétitif, où les constructeurs doivent s'adapter pour rester en jeu. Alors que la demande de voitures électriques continues à croître, Renault a commencé à réfléchir à une stratégie plus pragmatique.
Le principal argument de ce changement de cap est le marché lui-même. Les ventes de voitures 100% électriques sont en augmentation, mais elles ne sont pas aussi explosives qu'anticipée par de nombreux constructeurs. En se concentrant uniquement sur l'électrique, Renault risque de laisser un vide dans sa gamme qui serait difficile à combler.
En outre, les performances commerciales des modèles électriques de Renault sont en deçà des objectifs. Proposer des alternatives thermiques ou hybrides pourrait aider à booster les volumes de production et à mieux rentabiliser les plateformes.
Le Scénic, le Mégane et la ZOE sont les principaux modèles concernés par cette réflexion. Mais quels types de motorisations thermiques seront envisagés ? La réponse est une adaptation de la technologie EREV (Extended Range Electric Vehicle), qui consiste à utiliser un petit moteur essence pour recharger la batterie sur de longues distances.
Cette décision ne peut pas être qualifiée d'aventurisme, mais plutôt comme un pragmatisme industriel. Renault cherche à s'adapter aux changements du marché et à sécuriser les volumes. La décision finale devrait être officialisée en mars 2026 lors de la présentation du nouveau plan stratégique.
Il est difficile de prédire comment cette décision sera accueillie par le public. Les puristes de l'électrique et les anti-VE risquent de se poursuivre dans leur débat, mais il est également possible que cette approche pragmatique soit vue comme une solution pour répondre aux attentes du marché.