Frabulleur
Well-known member
La réforme des agences régionales de santé (ARS) est en pleine ébullition. Le conseil national de l'Ordre des médecins a exprimé sa préoccupation quant à la suppression potentielle de ces structures à horizon 2026, considérées comme un bras armé essentiel de l'État pour appliquer la politique de santé sur le terrain.
Selon les experts, il ne s'agit pas de détruire l'échelon régional, mais de réévaluer ses missions et renforcer sa capacité à répondre aux réalités sanitaires des territoires. Les ARS sont censées assurer la veille sanitaire, la préparation aux crises et la régulation de l'offre de santé, notamment en ce qui concerne les établissements hospitaliers et les Ehpad.
Cependant, ces agences sont depuis longtemps critiquées par les élus locaux, qui les accusent de bureaucratisme et d'inefficacité. La proposition du Premier ministre Sébastien Lecornu consistant à transférer leurs compétences aux préfets et aux départements est donc mal receue.
Les anciens ministres de la Santé, qui ont signé une tribune critiquant cette idée, estiment que telles approches pourraient conduire à des inégalités territoriales et des effets de clientèle, créant ainsi des "baronnies locales". Le conseil national de l'Ordre des médecins a plutôt choisi de défendre la nécessité d'une réforme qui renforce les capacités des ARS pour répondre aux réalités sanitaires des territoires.
Selon les experts, il ne s'agit pas de détruire l'échelon régional, mais de réévaluer ses missions et renforcer sa capacité à répondre aux réalités sanitaires des territoires. Les ARS sont censées assurer la veille sanitaire, la préparation aux crises et la régulation de l'offre de santé, notamment en ce qui concerne les établissements hospitaliers et les Ehpad.
Cependant, ces agences sont depuis longtemps critiquées par les élus locaux, qui les accusent de bureaucratisme et d'inefficacité. La proposition du Premier ministre Sébastien Lecornu consistant à transférer leurs compétences aux préfets et aux départements est donc mal receue.
Les anciens ministres de la Santé, qui ont signé une tribune critiquant cette idée, estiment que telles approches pourraient conduire à des inégalités territoriales et des effets de clientèle, créant ainsi des "baronnies locales". Le conseil national de l'Ordre des médecins a plutôt choisi de défendre la nécessité d'une réforme qui renforce les capacités des ARS pour répondre aux réalités sanitaires des territoires.
Je comprends que ça peut sembler une bonne idée pour réduire le bureaucratisme, mais ce n'est pas la solution. Les ARS ont des missions importantes à remplir, surtout en matière de santé publique, et si on les élimine, ça va être un désastre ! 
Et qui va gérer les territoires alors ? Les préfets et les départements, c'est trop peu pour une telle tâche. On a besoin de structures solides et efficaces pour répondre aux besoins des populations 
. La réforme doit aller dans la direction de renforcer les capacités des ARS, pas de les détruire !
. J'imagine bien les élus locaux qui ont besoin d'un bras armé pour gérer les problèmes de santé, c'est sûr que la réforme est nécessaire, mais il faut trouver des solutions qui profitent à tous et non justement à quelques "baronnies locales" 
. Je pense que l'Ordre des médecins a raison de défendre les capacités des ARS pour répondre aux réalités sanitaires des territoires, c'est une question de santé publique ! 
. Je pense que c'est une occasion de prendre en main les choses et de faire une réforme qui fonctionne vraiment pour tous les territoires, pas juste pour ceux où on a du pouvoir. Les élus locaux ont raison de parler d'inefficacité, mais il faut trouver des solutions concrètes, pas justifier la suppression de ces structures en disant qu'elles sont trop bureaucratiques 
. Et ce mot "baronnies locales" ? C'est pas fini de rire.
Mais non, je comprends le problème, il faut renforcer ces structures pour qu'elles puissent faire leur travail efficacement. Mais les compétences aux préfets et aux départements ? C'est une solution qui ne va pas plus loin que la politique de santé sur la table... 
Ils pensent qu'ils peuvent justement ça sans même réfléchir aux conséquences... Les ARS sont des bouches d'égout pour l'État, c'est ça qu'il faut garder à l'esprit. Et pourquoi pas les transférer aux préfets ? C'est juste une façon de rendre le pouvoir plus centralisé, et je trouve ça plutôt chic ! 
Mais non, les anciens ministres de la Santé veulent nous faire croire qu'ils savent mieux... Moi, je pense que c'est tout le contraire ! 
. Et puis, ces anciens ministres qui veulent nous dire que ça va conduire aux "baronnies locales"... c'est juste de la politique classique 
, ils veulent rester au pouvoir !
Je pense qu'on devrait garder ces structures régionales, mais avec une réflexion plus sérieuse sur leurs missions, c'est tout. 
Et puis, ce qui me fiche vraiment, c'est cette idée de transférer leurs compétences aux préfets et aux départements. 
C'est juste une façon de déléguer les responsabilités sans résoudre le problème ! 
. Les États doivent se renforcer pour faire face aux défis de santé, pas s'effondrer parce que les locaux ne veulent pas partager leurs responsabilités ! Enfin, peut-être que ça leur fera comprendre qu'ils sont vraiment en train de prendre soin des gens, et non juste de leurs propres partis politiques... 
Je suis vraiment déçu quand je vois que les ARS sont encore une fois touchées... C'est comme si on ne voulait pas entendre l'expertise et les préoccupations des médecins et des acteurs locaux ! 